La photo qu'il ne faut pas manquer de prendre
dans le grand hall d'honneur du régiment des grenadiers à cheval
quand ils sont dans leur bel uniforme de gala
Ici trois membres de la musique du régiment
qui s'apprêtaient à donner la sérénade à la colonelle et ses inivtées
C'est ainsi que dimanche dernier, le 3 septembre, j'ai été invitée à prendre la parole devant un parterre de dames dans l'un des salons de réception de la caserne du Régiment des Grenadiers à cheval, à Palermo, où la colonelle recevait les femmes d'officiers et quelques dignitaires sanmartiniennes, comme l'historienne Florencia Grosso, pour célébrer l'anniversaire de naissance de Mercedes de San Martín, fille du fondateur du régiment, le général du même nom dont on fête cette année le bicentenaire du passage des Andes. L'épouse du colonel Armanelli m'a donc fait l'honneur de me choisir comme conférencière pour cette occasion. Joli souvenir et belles rencontres, là où le mercredi précédent j'étais venue écouter le conférencier Esteban Ocampo, spécialiste de la cavalerie historique, que j'avais rencontré au Congrès d'histoire de San Juan, où nous intervenions tous les deux.
Hier, mardi 5 septembre, j'enregistrais une série d'interviews pour l'émission de Nolo Correa, dans les studios de Radio Rivadavia, AM 630, situés rue Arenales, la rue où se produit la rencontre entre la belle bourgeoise de Recoleta-Palermo et le fou échappé de l'asile de Balada para un loco, de Piazzolla et Ferrer (1).
Et c'est encore Nolo Correa que je dois retrouver aujourd'hui, sur le coup de 15h (heure locale), pour enregistrer une interview, cette fois-ci pour la télévision, dans un autre lieu de Buenos Aires rendu lui aussi immortel par la poésie du Maestro Horacio Ferrer, le café La Poesía, où il rencontra sa femme et sa muse, Lulú Michelli, au cours d'une émission... de Nolo Correa !
Demain, je me rendrai au Colegio del Centenario, à Florencio Varela, dans la banlieue sud et populaire de la capitale fédérale. Mais cela, c'était prévu !
Cliquez sur l'affiche pour une haute résolution
Enfin vendredi soir, à 18h30, ce sera ma dernière activité dans cette belle ville de Buenos Aires et cette terre argentine que j'aime tant : une rencontre en français autour du thème de la traduction littéraire avec des élèves interprètes et traducteurs de l'Instituto de Enseñanza Superior de Lenguas Vivas Juan Ramón Fernández, dans la rue Carlos Pellegrini, à Palermo, près de la grande avenue Libertador.
Ces activités ont toutes un caractère privé au moment où elles sont menées et ne sont donc pas ouvertes au grand public en direct.
Dimanche 3 septembre 2017, pendant ma conférence dans l'après-midi
mais c'est l'hiver : la nuit était déjà tombée !
Gracias, Carol, para sacarme la foto.
Tout cela pour vous dire qu'il y aura bientôt sur mon site Internet de nouvelles émissions de radio à écouter et sans doute quelques images de télévision.
D'ici là, vous pouvez découvrir quelques unes de ces institutions à travers leurs pages Web : le régiment des Grenadiers à cheval est sur Facebook et il a un site Internet l'Institut Lenguas Vivas dispose d'un site et d'une page Facebook Radio Rivadavia a son propre site et sa page Facebook le Café la Poesía est sur Facebook
(1) Balada para un loco est l'un des tangos que j'ai traduits dans Barrio de Tango, recueil bilingue de tangos argentins, un texte que je commenterai aux étudiants de Lenguas Vivas vendredi prochain. Le livre est disponible aux Editions du Jasmin (2) Lulú fait également partie du corpus de 231 letras contenues dans ce livre, le premier de ceux que j'ai publiés.