Le 11 octobre 2015, 4 mois après que Donald Trump se soit lancé dans la course présidentielle des États-Unis, Trump lançait de très gentils mots à l'égard d'une Russie isolée internationalement.
En effet, les États-Unis sanctionnaient la Russie économiquement pour sa capture par la force de la Crimée et ses errances en Ukraine. Plus tôt, dans le même mois, Barack Obama condamnait les raids sur la Syrie, lourdement commandité par les Russes. Trump, pour sa part, disait qu'il s'entendrait probablement fort bien avec un homme comme Poutine. Il était pourtant extrêmement clair alors, que Vlad avait un triste bilan, de moins en moins secret, en terme de droits humains.
Du point de vue de Vlad, il est facile de comprendre qu'il ait tout de suite apprécié qu'une telle cloche lui fasse l'effet d'un carillon.
Maintenant, on comprend peut-être un peu plus pourquoi Donald lui aurait accordé la première valse. Le 28 octobre suivant, Trump signait une lettre afin de se commettre dans l'investissement immobilier à Moscou. Poutine lui a renvoyé les fleurs en approuvant de sa main les projets, et en disant de Trump qu'il était très talentueux ainsi que le leader absolu de la course présidentielle étatsunienne. Trump a ensuite ronronné que c'était toujours bien de se faire complimenter par un homme aussi respecté par son propre pays et partout dans le monde. Don était déjà dans un monde parallèle.
À la mi-janvier dernier, Trump était maintenant président. Et les Russes voulaient toujours faire des affaires avec D.T.
Trump faisaient écrire ses intentions de toujours développer des tours à son nom à Moscou par des associés. Pour noyer le conflit d'intérêt
Comey s'approchait du lit d'amour entre Don & Vlad.
Pendant ce temps, Vlad est toujours envahisseur de la Crimée et intervient sournoisement en Ukraine. Il fait aussi danser des jets, lourds de missiles, au dessus de la Syrie et des eaux baltiques.
Trump est toujours incapable de murmurer l'ombre de l'ombre d'un reproche au vicieux Vlad.
Pas plus qu'il ne se trouve de défaut à lui-même.
Ou à ceux qui abusent du pouvoir.
Le fils de Donald Trump ira bientôt