Ce n'est plus une surprise pour personne: l'utilisation du coaching se développe en entreprise et dans les administrations publiques. Si le besoin et la volonté de mieux organiser la profession subsistent, le coaching n'est plus le dernier 'truc" à la mode. C'est incontestablement un puissant levier d'efficacité professionnel et de développement de compétences.
Pourquoi les entreprises ont-elle recours au coaching?
La gestion du changement est devenu un challenge au jour le jour: le rythme accéléré des affaires et la pression du temps font qu'il est nécessaire de réajuster continuellement ses compétences. Le coaching est le moyen de s'adapter et de faire face aux grandes mutations qui touche la sphère professionnelle.
Le développement du management horizontal: moins d'organisation hiérarchique verticale, des responsabilités transversales de plus en plus étendue et une mobilité volontaire ou subie accrue font que les nouveaux promus doivent chausser des bottes de 7 lieues pour avancer à grands pas avec une visiblité optimale dans leur carrière* ( voir note en fin d'article)
Le besoin d'un plan de developpement professionnel calibré, customisé et " on time": c'est la fin de la taille unique au bénéfice d'un programme de travail personnalisé, réactif ou
proactif qui capitalise sur le potentiel et a pour but de développer l'agilité du coaché
Le fait qu'une mauvaise performance coûte à l'entreprise: particulièrement lorsqu'elle touche les cadres et dirigeants. Tout comme en gestion client il en coûte moins à l'entreprise de fidéliser et développer une ressource à potentiel que d'en recruter une nouvelle.
Parce que l'on à tout intérêt à prendre en charge sa carrière: et c'est bien l'objet de ce blog.Une attitude responsable de gestion de carrière permet à chacun d'identifier ses besoins de développement professionnel.
Le droit au développement de ses compétences tout au long de la vie professionnelle qui est maintenant reconnu.
Pour aller plus loin, lire sur Coachingleader le Blog:
*Note Au XVIIe siècle, les bottes de sept lieues étaient utilisées par les postillons entre deux relais de poste (distants d'environ sept lieues). Fixées à la monture et rigides, elles permettaient un meilleur maintien et une protection des jambes en cas de chocs ou de morsures. On peut en voir une paire en visitant le château d'Ussé, près de Tours. [...Dans les contes de fée, et en particulier dans le petit poucet,] ces bottes sont magiques, et lorsque Poucet les enfile, elle s'ajustent à son pied et lui permettent de gagner le château royal en un rien de temps. Source Wikipédia.
Pour le coaching, j'aime assez utiliser la métaphore des bottes de 7 lieues tant dans son acception historique : "permettre un meilleur maintien et une protection en cas de chocs" que dans le registre conte de fées où l'on voit que le bottes s'adaptent au pied de Poucet ( telle l'approche sur mesure du coaching) et lui permettent d'atteindre son objectif plus rapidement...tant que l'on se donne la peine d'avancer ;-)
La photo est celle de l'oeuvre de l'artiste MASAKO KURIMOTO, célébre pour ses poupée en papier maché. Ici, the pair of blue boots, 1988.
CoachingLeader