Le gouvernement brésilien envisage de privatiser la compagnie d'énergie Eletrobras en diminuant ses parts dans le capital de cette entreprise publique, a annoncé mercredi, le ministère brésilien des Mines et de l'Energie.
Lors d'une conférence de presse à Brasilia, le ministre des Mines et de l'Energie, Fernando Coelho a expliqué qu'"il s'agit d'une opération fondamentale pour le développement du secteur électrique brésilien", ajoutant que la même société pourrait connaître une augmentation de capital.
Actuellement, le gouvernement brésilien est détenteur de 40,98 % du capital d'Eletrobras et de la grande partie des droits de vote alors que la banque publique de développement BNDES possède 18,72 % d'actions ordinaires et 14 % d'actions préférentielles. A en croire une source du ministère de tutelle, l'Etat compte garder son droit de veto au sein de la compagnie, grâce à des actions privilégiées.
Les marchés ont chaleureusement accueilli cette décision. Par conséquent, les titres ordinaires du groupe ont clôturé sur une forte hausse à la bourse de Sao Paulo, soit 48,87 % pour les actions ordinaires et 32,59 % pour les actions privilégiées.
Le ministre a confié aux médias que le gouvernement brésilien souhaite obtenir près de 5,35 milliards d'euros (5,88 milliards de dollars) par le biais de cette privatisation qui s'inscrit dans un vaste programme gouvernemental visant à renflouer les caisses de l'Etat.
Lors d'une conférence de presse à Brasilia, le ministre des Mines et de l'Energie, Fernando Coelho a expliqué qu'"il s'agit d'une opération fondamentale pour le développement du secteur électrique brésilien", ajoutant que la même société pourrait connaître une augmentation de capital.
Actuellement, le gouvernement brésilien est détenteur de 40,98 % du capital d'Eletrobras et de la grande partie des droits de vote alors que la banque publique de développement BNDES possède 18,72 % d'actions ordinaires et 14 % d'actions préférentielles. A en croire une source du ministère de tutelle, l'Etat compte garder son droit de veto au sein de la compagnie, grâce à des actions privilégiées.
Les marchés ont chaleureusement accueilli cette décision. Par conséquent, les titres ordinaires du groupe ont clôturé sur une forte hausse à la bourse de Sao Paulo, soit 48,87 % pour les actions ordinaires et 32,59 % pour les actions privilégiées.
Le ministre a confié aux médias que le gouvernement brésilien souhaite obtenir près de 5,35 milliards d'euros (5,88 milliards de dollars) par le biais de cette privatisation qui s'inscrit dans un vaste programme gouvernemental visant à renflouer les caisses de l'Etat.