Histoire : Dans ce volet final de la trilogie, César, à la tête des Singes, doit défendre les siens contre une armée humaine prônant leur destruction. L’issue du combat déterminera non seulement le destin de chaque espèce, mais aussi l’avenir de la planète.
Mon Avis : 3/5. J’avais tellement hâte de le voir qu’au final j’ai été malheureusement déçue … Trop d’attente ? J’attendais autre chose ? Déjà j’en attendais beaucoup de Woody Harrelson et finalement je ne l’ai pas trouvé excellent dans son rôle, en plus, on le voit assez peu au final. Par contre, j’adore toujours autant César et je trouve toujours excellent comment il est fait. Rien à redire il reste toujours dans le ton même si là, il n’attend qu’une chose : se venger. Sa quête le mènera à un combat qu’il ne voulait malheureusement pas. Lui voulait la paix, eux ne veulent rien savoir et veulent détruire les singes et même les humains ont plusieurs camps. J’avoue que j’ai été étonnée que le film tourne comme cela, même si bien entendu on savait comment ça allait se finir. J’espérais quand même avoir plus de spectacle. Il faut dire que j’avais trouvé le deuxième particulièrement génial. Finalement, dans celui-ci il n’y a pas trop d’action, il y a tout juste ce qu’il faut. Il y a quand même du spectacle même si on en espérait plus. Le film clôture bien cette trilogie même si j’avais espéré une autre fin pour César. Je dois dire que rien ne vaut quand même les anciens films même si la trilogie reste bien faite et que ça faisait plaisir de se replonger dans cette histoire. D’ailleurs, ça m’a donné envie de revoir les originaux !
En résumé, La Planète des Singes – Suprématie n’est pas le meilleur des trois films de cette nouvelle trilogie. Il manque quelque chose de plus accrocheur je trouve. Le film reste assez plat même s’il est assez complet et qu’il y a de l’action. On y apprend plus de choses sur l’explication au devenir de notre planète et sa conquête par les singes mais ça reste assez facile sur la finalité. A voir quand même mais il ne faut pas s’attendre à du trop grand spectacle.