C’est à se demander… Entre son positionnement notoirement identitaire, son rejet d’une seule et unique religion (quid des autres ? je demande, juste 😉 ), le tout incarné par le mouvement pseudo-laïcard à géométrie si variable qu’est le Printemps Républicain, d’un vallsisme confondant et…. ça :
… je ne vois franchement pas ce qui différencie encore ce gugusse qualifié si abusivement de politologue non orienté – alors qu’il l’est si terriblement – des trolls de la fachosphère comme celui-ci, piqué au hasard…
… ces gens devraient pointer aux urgences psychiatriques pour relever le moindre des passages à l’acte des patients, après avoir vérifié la consonance même vaguement mahométane de leur patronyme, afin de mieux les instrumentaliser en les requalifiant d’ « actes terroristes », au moins les choses seront plus claires. A-t-on vraiment besoin de pareils bouffons de la non-pensée ? Notre pays se meurt de tels rapprochements hasardeux. Mais il est vrai que notre si droitier Ministre de l’Intérieur que les identitaires ne renient pas leur montre tellement bien l’exemple… à ne pas suivre, en ancien professionnel du secteur psychiatrique et de la maladie mentale que je suis. (quelqu’un de mieux qualifié que moi lui répond d’ailleurs vertement, à juste titre). Moi, je sais de quoi je parle. Pas d’amalgame, en effet, pour de vrai. Une psychose, ce n’est pas une simple névrose qui permettrait comme ces gens là le pensent d’exonérer à bon compte des apprentis terroristes. C’est une maladie chronique, incapacitante, qui altère la perception de la réalité. Mais il est vrai qu’arrivé à ce stade de confusion mentale, médiatique et politique, dans un contexte actuel si tragiquement troublé, inspiré par la peur et les émotions négatives plutôt que par une réelle analyse de la situation, on n’arrive plus bien à faire la différence entre les vrais malades… et les autres. Voilà, c’est écrit. Bien le bonjour par chez vous, Monsieur Bouvet. Je ne vous lâcherai pas, vous qui faites tant de mal à la gauche en vous en revendiquant pourtant. Honte à vous. Comme à celle dont je vais d’ailleurs tailler le costume dans le billet qui va suivre… Même moisi, même peste brune.