Edgar Schein explique qu’il n’y a pas de changement sans « anxiété de survie ». La crise, lorsqu’elle ne paralyse pas, est un facteur favorable au changement. Le Français, en particulier, réagit particulièrement bien à la crise. Mener un changement en temps de calme, demande, paradoxalement, de créer cette anxiété de survie. Pour cela on ne joue pas sur la crainte, mais sur les aspirations. (Du moins, c'est ce que je tente de faire.)
Pour le reste, les modes de gestion de projet ne diffèrent pas.