Il n'est plus temps de parler de "cacophonie" mais de tempête généralisée. Il n'y a pas un sujet où l'intervention présidentielle n'engendre polémiques vives y compris au sein de sa propre majorité. La campagne gouvernementale de communication choque.
Le Sénat conteste. La Cour des Comptes tire l'alarme. Ce matin, un Ministre se démarque d'un pan important de la réforme de la télévision publique. Même un simple geste de "bonnes relations publiques" à destination des parlementaires est empreint d'une "faute de goût" manifeste.
Combien de temps encore ce climat est-il durable ?