Le premier objectif est de construire un dispositif qui permet de s’assurer que l’on va atteindre le but que l’on s’est fixé. Par exemple, que tel nouveau logiciel va bien permettre de faire les gains de productivité que l’on en attendait lorsqu’on l’a acheté. On peut appeler ce dispositif une « boucle de rétroaction ».
Cela peut paraître évident, mais ce n'est jamais fait. Par exemple, les entreprises achètent d'autres entreprises, ou installent des logiciels, sans s'assurer qu'elle vont bien obtenir ce qui justifiait l'investissement.
En réalité, l’expérience montre que l’objectif principal du changement est l’optimisme. Martin Seligman définit l’optimisme comme la capacité à être stimulé par l’aléa. Une organisation optimiste est ultra performante.