Magazine Culture
(There is no place like) Home for the HolidaysOh, there’s no place like home for the holidays, ‘Cause no matter how far away you roam When you pine for the sunshine of a friendly gaze For the holidays, you can’t beat home, sweet home
I met a man who lives in Tennessee and he was headin’ for Pennsylvania and some home-made pumpkin pie From Pennsylvania folks are trav’lin’ down to Dixie’s sunny shore From Atlantic to Pacific, gee, the traffic is terrific
Oh there's no place like home for the holidays, ‘Cause no matter how far away you roam If you want to be happy in a million ways For the holidays, you can’t beat home, sweet home For the holidays, you can’t beat home, sweet home
Sur une musique de Robert Allen et des paroles de Al Stillman, cette chanson est généralement associée aux fêtes de fin d’année. Elle a connu son plus grand succès grâce à l’interprétation de Perry Como (en 1954) (photo), puis celle des Carpenters(en 1984), suivies de nombreuses autres. Elle évoque, dans le contexte américain, la nostalgie des racines familiales et le réconfort qu’apporte le retour vers le foyer à l’occasion de la fête de Noël et du Thanksgiving(Pour Murielle et Serge : Le Chœur des Souvenirs)Rien n’est Mieux que Chez Soi pour les FêtesRien n’est mieux que chez soi pour des fêtes heureuses Car, aussi loin que l’on aille, ma foi En cherchant l’atmosphère la plus chaleureuse Pour les fêtes, rien n’est mieux qu’un doux chez soi
J’ai rencontré un gars du Tennessee sans cesse rêvant de Pennsylvanie et de tartes au potiron De Pennsylvanie vers le soleil du sud, les gens descendent De l’Atlantique au Pacifique, ça fait de la circulation !
Rien n’est mieux que chez soi pour des fêtes heureuses Car, aussi loin que l’on aille, ma foi Pour l’amitié et la cuisine savoureuse Pour les fêtes, rien n’est mieux qu’un doux chez soi
(Adaptation française : Polyphrène)