Magazine Conso
J'ai toujours suivi, de près ou de loin, la culture Surf. A vrai dire, comme je vous l'expliquais dans mon article sur la fête des papas, j'ai toujours baigné dans cet univers, à travers mes inspirations, mon style, mon goût pour la décoration, le sport... et tout ça, grâce à ma famille.
Pour moi le Surf, au delà de la pratique, c'est un état d'esprit libre, un moyen de se sentir tout le temps en vacances, de laisser ses idées vagabonder même en travaillant toute la journée dans un bureau...
En me baladant sur le net, je suis tombé sur un article très intéressant sur la définition du mouvement Gypset. Je ne m'étais jamais réellement intéressé à ce mouvement car je n'avais jamais vraiment réussis à mettre un nom sur ce style.
"Les Gypsets sont des écrivains, artistes, musiciens, surfeurs, amoureux de la nature…Ils sont bons vivants, épicuriens et surtout ouverts aux autres. Le Gypset est capable de poser ses valises un peu partout dans le monde car « At home in the world » « le monde est ma maison » ou « je suis partout chez moi » est son mantra. Bien souvent ses valises se posent près d’une plage, d’un spot de surf, dans un village de pêcheur, mais toujours loin du tourisme de masse."
Finalement, je crois que le mouvement Gypset reflète exactement la culture Surf (qui est d'ailleurs un petit morceau de ça). Et je dois dire que je me reconnais totalement dans cet état d'esprit.
J'ai toujours aimé voyager, découvrir, rencontrer... et je crois que ça me porte d'ailleurs un peu défaut aujourd'hui, quand je dois me montrer responsable et assumer ma semaine au bureau. Finalement je ne me ferais jamais au train-train quotidien, au boulot-dodo.
"La Gypset est aussi une amoureuse de la mode et elle lie cette passion à son autre passion, le voyage et la découverte des cultures. Quand elle voyage elle trouve des ponchos, des bijoux confectionnés par des artisans et adore plus que tout les pièces uniques. Quand elle porte des pièces de créateurs c’est souvent des pièces chinés, vintage. Elle adore le mix and match, les vêtements hippie chic, les imprimés…"
Alors, en attendant de pouvoir vivre librement (mais je ne me plains pas, je suis consciente d'avoir la chance de me lever chaque matin, en faisant quelque chose qui me plait, "en attendant".), je fabrique mes rêves, je m'échappe à travers des romans, des photographies, des films.. et lorsque le temps me le permet, des voyages.
Mais je m'échappe aussi et surtout à travers la mode. Des fringues qui me font voyager, qui ont une histoire et racontent quelque chose...
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