L’éducation francophone en Colombie-Britannique: les écoles Rose-des-vents et Jules Vernes
Vancouver, chapitre 12
Après la visite de l’école Gabrielle Roy à Surrey, Paul de la Riva, directeur des communications du Conseil scolaire francophones de la Colombie-Britannique nous transporte à l’école Rose-des-vents dans Vancouver.
C’est maintenant au tour de la directrice, Carole Massé de nous accueillir. Cette école primaire vit une transition extrême. Une école secondaire est en construction sur les terrains de l’école primaire: l’école Jules Vernes. L’école primaire va graduellement laisser sa place à l’école secondaire qui va prendre toute l’espace. Des locaux temporaires sont installés à l’extérieur, des classes ont été réaménagés, le gymnase ne fera pas exception. L’école Jules Vernes ouvrira ses portes à temps pour accueillir les élèves en septembre 2008.
Les nouvelles installations permettront d’avoir un nouveau gymnase, une salle de spectacle. Cette salle n’est pas exclusive aux élèves de la future école Jules Vernes. Elle sera disponible aussi à la communauté francophone.
Carole lance un message à tous les Québécois: collaborer avec les cultures francophones dans votre province et même ailleurs. Carole nous présente Marielle et Brigitte, deux enseignantes Françaises et Mylène, une Québecoise. Mylène s’est retrouvée en Colombie-Britannique parce qu’il n’y avait plus de perspectives d’emploi au Québec. Elle était 400e sur une liste d’appel avant d’obtenir un emploi.
Après cette visite, Paul nous amène pour le dîner à la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique. Plusieurs organismes communautaires de la francophonie logent à la même adresse: une salle de spectacle, le journal francophone l’Express du Pacifique. Ce lieu permet de croiser par hasard les principaux acteurs impliqués auprès de la communauté francophone. Même Johanne Dumas du Festival du bois à Maillardville (Coquitlam) y était présente.
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