Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles,sea sex and sun , trackback
On commence d'abord par rétablir la connexion internet familiale, un grand classique, tout en sachant qu'on ne taquinera pas beaucoup le mulot... Puis on hésite entre farniente dans le tranzat ou trempette dans la piscine. Ou alors on ira enfin zigouiller Ivan dans GTA IV ou faire une partie de badmington à la fraîche ou... un golf sur le gazon avant midi. Dans tous les cas on prendra le temps, le temps de vivre, de rêver, loin du tumulte de la ville et ses bruissements incessants, couchée sur la pelouse et la tête dans le bleu du ciel. Alors on se demande où peuvent bien aller tous ces avions qui passent.
Un rayon caresse la peau dorée et on frémit de plaisir. On marche pied nu dans l'herbe et la rosée vient lécher nos orteils On mange beaucoup, beaucoup de salade pour espérer en déguster le coeur et faire tous pleins de voeux. On pense à elle et on se demande ce qu'elle fait exactement à cet instant pendant qu'on petit déjeune, les lunettes anti UV sur le nez.
Et puis il y a tous ces mots que l'on voudrait toujours chanter aux personnes que l'on aime pour les remercier de tout ce qu'elles peuvent nous apporter et leur donner un morceau de notre passion juste pour qu'elles sachent à quel point elles sont cruciales et rares. Stay with you and always be there.
Et pour rien au monde on ne voudrait revenir en arrière...