Le président du FC Barcelone, Josep Maria Bartomeu, s'en est pris de façon virulente à Neymar et au Paris Saint-Germain.
Ça passe toujours pas. Les catalans ont encore un sale arrière goût dans la bouche. Ils ne digèrent toujours pas le départ de leur brésilien Neymar. Et surtout Josep Bartomeu. Le Président du barça a le transfert du siècle encore en travers de la gorge.
Pour s'en débarrasser, il crache. Encore et encore, il crache sa haine qu'il a développé lors de ce mercato contre le Paris Saint-Germain, ses dirigeants Qatari, et contre celui qui l'a quitté: Neymar Da Silva Santos Junior.
Ce lundi matin, il a pris la parole comme on sort une épée de son fourreau avec l'intention de faire mal. Il s'est alors attaqué a son ancien joueur:
"Neymar a été un membre de notre club, mais c'est de l'histoire ancienne. C'est sa décision personnelle et nous avons tenté de le conserver par tous les moyens à notre disposition. Ce n'est pas le notre, mais il a fait son choix. (...) Nous savions qu’il y avait une possibilité que Neymar nous quitte un jour, c’est pourquoi nous avions augmenté sa clause lors de sa dernière prolongation. Ce transfert nous assure une certaine tranquillité économique. S’il restait, le Barça conservait un grand joueur. S’il partait, nous savions que nous pourrions le remplacer par des joueurs compétitifs. Il a pris sa décision, mais la forme n’est pas correcte. Il ne s’est pas comporté comme nous l’attendons d’un joueur du Barça. Nous aurions préféré plus de franchise"
Avant de lancer un pique aux dirigeants du PSG,
"Aucun joueur ne peut être au-dessus du Barça. Aucun intérêt personnel ne peut être supérieur à celui du Barça. Nous avons plus de 118 ans d’histoire avec de nombreux grands joueurs. Nous sommes un club de plus de 140 000 socios. Le Barça n’est la propriété d’aucun groupe, d’aucun investisseur, d’aucun cheikh ou oligarque. (...) On ne peut dépenser plus que ce qu’on gagne"
On attend avec impatience le prochain Barça-PSG ! En attendant, Neymar se détend dans son Jacuzzi dans sa villa de Saint-Tropez.