Le jour du 14-Juillet, notre divin, mirifique et magnifique président nous permettra de redécouvrir (enfin !) l'oeuvre de l'un des poètes les plus engagés et des plus enragés de Mai-68 : Christophe ! C'est dire la nature révolutionnaire du régime actuel et combien la rupture est désormais définitive dans le domaine de l'art. Redécouvrons donc ce "poète maudit" comme il se qualifiait dans les Paradis perdus.
Je suis le tout petit gars perdu dans la ville
Je crie : "Love, love, love, love, love, love"
Seul entre ces tours d'acier je me sens fragile
Je crie : "Love, love, love, love, love, love"
Montre que le poète exprime son angoisse face à la jungle urbaine. Comment cela traduit-il une contestation des…