Un dirigeant me disait qu'il n'avait jamais trouvé personne avec qui il puisse parler de son expérience du changement. Il était heureux d'avoir enfin rencontré quelqu'un qui le comprenne. Et moi, me comprend-on ?
Depuis 15 ans, je rencontre des journalistes. Et nous nous livrons à un dialogue de sourds. Ils ne saisissent rien à ce que je leur dis. Jusqu'à ce qu'ils me parlent de leur situation personnelle. Ils vivent un calvaire... Ils aimeraient que je les aide. Mais pas écrire sur mon travail...
Peut-être qu'il y a quelque-chose de honteux à parler de changement ?