On ne le répètera jamais assez mais le sport est le sûrement le secteur le plus fédérateur au monde ! Ainsi, les marques savent qu’un investissement dans cet univers sera probablement plus que rentable, surtout lorsque l’on évoque le football. Et quand on parle de marques, on parle de toutes les marques. De ce fait, certaines enseignes, presque « sport incompatibles », n’hésitent pas à sortir le chéquier pour se tailler une part du gâteau. E-TV Sport vous présente ces sponsors insolites qui apparaissent dans le monde du ballon rond !
Tinder devrait « séduire » Manchester United après le Napoli
Selon plusieurs médias anglais dont le « Daily Mail », le club mancunien a été courtisé par Tinder et pourrait accepter de se lier à l’application de dating contre une somme de 13 millions d’euros. Le logo de l’application pourrait ainsi se retrouver sur le sweatshirt du club. La collaboration serait sur le point d’être officiliasée. Depuis son lancement en mai 2012, Tinder est déjà présent dans le monde du football, avec un contrat signé notamment avec Naples.
Le porno s’affiche sur les maillots
En automne dernier, les Rutherford Raiders, équipe de foot de l’université du Kent, en Angleterre, était en quête d’un sponsoring pour assurer leur saison. La recherche étant infructueuse, les joueurs de l’équipe font une blague en affichant le site pornographique Pornhub sur leur maillot. Mais celle-ci ne reste pas à l’était de blague car longtemps car le site contacte le club et lui envoie des équipements signés de la marque.
Finalement, l’établissement n’acceptera un tel sponsoring mais en Belgique, le club de Villiers-devant-Orval a choisi le célèbre site français Jacquie et Michel quand le club français, le FC Sèvre-et-Maine s’est tourné vers la chaîne de sex-shops Dorcel Store qui apparaît sur le maillot des plus de 35 ans du club.
Manchester United fait le plein d’huile
L’année dernière, Manchester United avait signé le premier contrat de sponsoring avec un acteur pétrolier de l’histoire de la Premier League. Le club avait ainsi annoncé la signature d’un accord de 3 ans avec la compagnie originellement américaine, Gulf Oil International, mais qui est aujourd’hui détenue par le conglomérat irano-indien basé à Londres Hinduja.