Comprendre le mensonge de la dette publique en quelques minutes

Publié le 27 juillet 2017 par Guy Deridet

Ce n'est pas la première tentative de ce genre mais celle-ci est vraiment très bien faite. Par ailleurs, compte tenu de l'ampleur de ce mensonge, on ne le dénoncera jamais assez.




N.D.L.R

Vous l'aurez noté l'origine de la dette publique, dont on nous rebat les oreilles depuis des lustres, c'est la décision en 1973, que l'on doit au trio fatal Giscard-Pompidou-Rothschild d'obliger les entreprises et les particuliers à emprunter désormais aux banques privées et non plus comme auparavant à l'Etat.

Ce cadeau somptueux fait aux banques privées est la source de tous nos malheurs.

Les américains, première économie du monde n'ont pas ces scrupules et font tourner la planche à billets sans aucune retenue. Sauf que là-bas la banque centrale, à savoir la Réserve Fédérale Américaine est depuis longtemps aux mains...des banques privées !

Tant qu'on ne reviendra pas sur cette situation aberrante, la dette publique ne cessera d'augmenter, les gouvernements quels qu'ils soient, ne cesseront d’appliquer l'austérité pour ne pas se faire gronder par les banques, les citoyens perdront le peu qui leur reste encore et tout cela finira par l'écroulement du système financier, de notre société et à terme de notre planète.

Ce système a perduré parce qu'il existait à sa création une croissance forte qui permettait de financer sans trop de problèmes la dette publique. Cette époque est révolue. C'est la planète désormais qui n'en peut plus de cette course effrénée à la croissance.

Les banquiers et la caste des très riches qui profitent allègrement de cette situation sont tellement avides de richesses et de pouvoir qu'ils ne tueront jamais eux mêmes la poule aux œufs d'or que constitue la dette publique.

Les politiciens étaient jusqu'à présent dépassés par cette situation, ont les a désormais "dégagés" du pouvoir.

Désormais, les banquiers et les très riches ont carrément placé leurs représentants au pouvoir. Voyez Trump aux Etats-Unis et Macron en France. Sans parler de Merkel en Allemagne, qui si elle n'est pas issue du monde de la finance, a vraiment tout fait, depuis des décennies, pour lui rendre d'éminents services.

Alors, n'y a-t-il aucun espoir ?

Je l'ai souvent écrit : l'espoir, c'est la planche des faibles et le salut des puissants !

Si les peuples ne prennent pas eux mêmes leur destin en main, et chez nous comme aux U.S.A on n'en a vraiment pas pris le chemin, ils sont condamnés, et notre planète avec.