Hello cybercopains ! Ce matin, retour sur la 11ème édition de Festiv’art, festival culturel amiénois.
Hé oui cette année encore, j’ai eu la chance d’interviewer une bien belle brochette d’artistes très différents. C’est même mon record, puisque 7 rencontres ont eut lieux durant cette belle édition.
Quatre jours de concerts et une programmation éclectique : du rock, du punk celtique du blues en passant par la soul et l’electro-swing. Beaucoup de bonne humeur et des lieux originaux : un bar, le Cirque Jules Verne, un chapiteau et un hôtel ! Petit originalité cette année, des sessions acoustiques improvisées avec petits instruments au choix. Aller, en route pour 2 interviews d’artistes aux antipodes. Et oui c’est aussi ça Festiv’art le métissage des styles
DIRTY DEEP
Découvrez les anecdotes croustillantes et la bonhomie du trio alsacien. Convertissez-vous à leur religion : le blues et laissez-vous porter par une session acoustique totalement improvisée sous les résineux du Cirque Jules Verne. C’est tipart !
IGIT
Au milieu des vinyls de Thierry (Malle à Disques) Igit révèle toute sa poésie et sa gentillesse. Dandy bohème, il a parcouru l’Europe avec sa guitare, chantant dans les rues et expérimentant dans les salles de concerts. Il est temps pour vous de faire sa connaissance. Moteur… action !
Vous avez aimé ? D’autres interviews à suivre !
Bravo à Morgan Kessler pour les prises de vues et le montage, sans son regard et cette qualité visuelle, les interviews n’auraient pas la même saveur !
Merci aux artistes et à la confiance de Céline et Arnaud – Festiv’art