Au Nord de l’Allemagne, Hambourg est un centre d’affaires reconnu. Mais cette ville est aussi une belle surprise. Le paysage urbain est sous l’influence maritime entre l’Elbe, les canaux et l’Alster, le lac central. Et l’architecture passée et contemporaine est d’une rare qualité.
Quel meilleur endroit que le Speicherstadt pour les bureaux du Port de Hambourg ?
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Troisième port européen, après Anvers et Rotterdam, Hambourg, ancienne cité hanséatique, est une ville où il fait bon se promener. Est-ce toute cette eau qui confère à la ville cette ambiance si spéciale ?
Les quais de Hambourg très fréquentés par les touristes.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Et la population en profite pleinement, que ce soit au bord du lac ou du port.
Ici, les quais de Hambourg ont été aménagés pour que famille et enfants puisse venir se détendre.
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Ce dernier n’est pas seulement un ensemble d’infrastructures. Il paraît qu’il y aurait plus de ponts à Hambourg qu’à Venise. Je ne les ai pas comptés mais ils sont nombreux. Et chaque fois que j’ai cru être sur un morceau de ville non irrigué par les canaux, j’ai constaté qu’en marchant quelques mètres, j’arrivais toujours à apercevoir un bout de pont ou l’éclat de l’eau miroitant au soleil.
Un pont du Speicherstadt placé sous la protection de deux grands navigateurs, Vasco de Gama et Christophe Colomb.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Et la variété des quartiers est large entre les villas résidentielles anciennes, magnifiquement entretenues autour de l’Alster, et le secteur de ST Pauli qui s’articule autour de Reeperbahn où pullulent sex shops, petits bars à l’allure de bouges, non loin du port. Le quartier est animé, notamment par une population parfois marginale, parfois alcoolisée et souvent les deux à la fois.
La place des Beatles à Hambourg avec les silhouettes des musiciens découpées dans du métal.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Les touristes vont y faire un tour en quête de sensations et pour marcher sur les traces de Beatles qui vécurent là à l’époque où ils commençaient à avoir du succès. Il y a même une place qui porte leur nom.
Pour les amoureux d’architecture, bien que la ville ait été bombardée et endommagée pendant la Deuxième Guerre mondiale, Hambourg est un endroit de rêve qui a su se reconstruire et j’ai très peu emprunté le métro pour voir le plus possible cette ville sous ses différents aspects.
Malgré cela, je suis loin d’avoir vu tout ce que j’avais prévu. Habituellement, je ne suis pas très portée sur ce genre d’exercice mais je disposais de très peu de temps pour découvrir Hambourg, j’ai donc pris le bus touristique rouge à deux étages qui fait le tour de la ville et va au-delà de l’hyper-centre. Les passagers qui ont le temps peuvent descendre à un arrêt, explorer une zone et reprendre le bus suivant.
Un bateau en réparation sur le port de Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Passage des écluses au cours de la promenade en bateau.
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Un porte-conteneurs à quai à Hambourg.
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Vue de Hambourg et de ses nouveaux bâtiments depuis un bateau.
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En bateau, entre deux rangées d’immeubles du Speicherstadt.
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Et pour avoir une idée de l’immensité du port de Hambourg, le bateau est le meilleur moyen d’explorer des endroits que je n’aurais jamais vus autrement.
Autour du Rathaus, l’Art nouveau à Hambourg
A ne pas rater le Rathaus.
Le majestueux Rathaus de Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
L’imposant Hôtel de ville de Hambourg a été érigé entre 1886 et 1897 dans le style néo-Renaissance.
Détail de la façade du Rathaus de Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Si je n’ai pas pu le visiter, j’ai admiré sa façade très travaillée. La place où il se trouve donne sur le Biennenalster, la plus petite partie de l’Alster, où viennent nager des cygnes. Un spectacle apprécié les habitants qui s’installent pour prendre le soleil sur les marches, comme un ensemble de gradins bordant le lac ou qui amènent faire prendre l’air aux enfants.
L’autre côté du Biennenalster est surplombé par la Galerie des arches de l’Alster où il fait bon flâner ou prendre un verre.
Les arches de l’Alster à Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Volutes Art nouveau pour la boutique Louis Vuitton de Hambourg.
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Et derrière, la rue Neuer Wall est composée de bâtiments Art nouveau certains s’ornant de fleurs et de courbes, d’autres s’orientant vers les formes et les décors plus contenus de la Sécession ou du Jugendstil, des orientations légèrement différentes d’un même mouvement en fonction des goûts et des influences des architectes qui les ont conçus.
Détails en céramique sur un immeuble Art nouveau de Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Mais, ils sont tous très réussis et les grands enseignes internationales ne sont pas trompées.
Esprit Jugendstil à Hambourg.
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C’est là qu’on trouve les magasins Hermès, Prada, Vuitton, Montblanc, Chanel ou Zegna. Une ravissante galerie aux décors Art nouveau relie la rue Neuer Wall à la galerie qui donne sur le Biennealster.
Galerie reliant la rue Neuer Wall aux arches de l’Alster à Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Décor typiquement Art nouveau du plafond de la galerie.
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De là, on peut voir l’ancienne poste en briques avec sa grande tour qui ressemble à un clocher. En revanche, j’avais prévu d’aller prendre un thé au Café Paris car j’avais vu des photos de cet établissement aux murs voûtés habillés de carreaux blancs et orné au plafond de grandes fresques colorées mais je n’ai pas eu le temps.
Jet d’eau au milieu du Assenalster, le plus grand bassin du lac au coeur de Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Une architecture de briques
Très originale, l’architecture de briques prend des proportions étonnantes à Hambourg. Le Speicherstadt est ce magnifique quartier d’entrepôts construits entre 1883 et 1927 sur plus de 300 000 m².
Bateau à quai dans le Speicherstadt de Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Mariage de l’ancien et du moderne à Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Un ensemble unique classé UNESCO, entouré de canaux et relié par de nombreux ponts.
Les tourelles en relief font saillie sur toute la hauteur de l’immeuble.
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Un bâtiment particulièrement raffiné dans le Speicherstadt à Hambourg.
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Les façades flamboyantes néo-gothiques sont parfois soulignées par des lisérés en pierre. Donjons, tourelles, découpes, pignons leur confèrent beaucoup de charme.
Petites variantes dans l’architecture des immeubles du Speicherstadt à Hambourg qui cassent l’uniformité mais toujours cette belle brique rouge.
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Des grosses lettres d’or sont accrochées sur les façades pour indiquer l’entreprise ou le musée, comme le Miniatur Wunderland, le plus grand ensemble de trains miniatures, ou le Internationales Maritimes Museum, le musée international maritime, qui occupent tel ou tel bâtiment.
Grosse hélice qui miroite au soleil sur le parvis de l’Internationales Maritimes museum.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Façade sur le fleuve de l’Internationales Maritimes museum.
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On voit toujours les crochets pendre des plus hautes fenêtres pour faire monter la marchandise.
Les crochets pendent du haut des bâtiments du Speicherstadt prêts à fonctionner.
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C’est une autre version de la construction en briques que j’ai appréciée, non loin de là, dans le quartier Kontorhaus. Ces bâtiments de bureaux édifiés entre 1920 et 1950 en briques plus sombres que celles du Speicherstadt sont spectaculaires dans leur style expressionniste ou moderniste, selon les spécialistes.
L’une des façades du Chilhaus à Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Ils sont eux aussi le label UNESCO et sont par ailleurs protégés. Ces bâtiments sont stupéfiants par leur taille et par le soin apporté à l’assemblage des briques pour magnifier ce matériau.
Détail de l’agencement des briques du Chilhaus.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
L’un des plus célèbres est le Chilehaus qui se termine en pointe effilée à l’intersection de deux rues, ces deux pointes étant au rez-de-chaussée entourée de deux genres d’auvents sculptés.
Petite avancée richement décorée au niveau de la pointe du Chilhaus à Hambourg.
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Avant d’en arriver là, les flancs du Chilehaus ondulent gracieusement. Ce ensemble est percé de puissantes entrées voûtées qui conduisent à un cour intérieure.
Pointe effilée du Chilhaus à Hambourg.
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Le bâtiment a été construit en 1924 par Fritz Hoger sur un terrain de 5 000 m² avec 4,8 millions de briques acheté par Henry Barens. Ce dernier était parti faire fortune au Chili et s’était lancé dans cette opération à son retour à Hambourg. C’est donc son séjour au Chili qui est à l’origine du nom du Chilehaus. Autre bâtiment impressionnant qui se trouve tout près, le Sprinkenhof, lui aussi en briques.
Façade du Sprinkenhof à Hambourg.
Photo City Breaks AAA+, Claude Mandraut.
Sa façade est ponctuée de motifs en céramique.
Détail des motifs décoratifs apposés sur tous les murs du Sprinkenhof à Hambourg.
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Dans sa grande cour intérieure, une demi-tour avance sur le jardin.
Vaste cour intérieure du Sprinkenhof à Hambourg avec sa tour.
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Le quartier comprend d’autres bâtiments dans cet esprit, le Kontorhaus, le Mohlenhof, le Montanhof et Messbergohof mais je n’ai pas eu le temps de les explorer. Je n’ai pas vu voir non plus l’Afrikhaus, un autre immeuble de bureaux construit entre 1899 et 1901 dont l’entrée intérieure est encadrée par deux somptueux éléphants en bronze. Quel regret ! En revanche, en matière d’architecture en briques, je n’ai pas raté Davidwache, le poste de police qui se trouve à l’entrée de Reeperbahn, à l’angle de la rue Davidstrasse.
Façade du poste de police Davidwache à Hambourg.
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Ce poste de police a été construit tel qu’on peut le voir en 1840 mais il existait avant.
Détail très soigné de la façade du Davidwache à Hambourg.
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Il est célèbre pour avoir hébergé l’un des Beatles une nuit et parce qu’on y a tourné un certain nombre de film.
Têtes en céramique qui jalonnent la façade de Davidwache, côté Davidstrasse à Hambourg.
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Moi, ce qui m’intéressait, c’était le bel agencement des briques et la rangée de têtes en céramiques qui sortent de la façade. Etonnant !
Sur la Davidstrasse, mur du Davidwache à Hambourg.
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Hambourg, une ville qui continue à construire
Hambourg continue à vibrer sur un mode contemporain avec de multiples constructions notamment dans le quartier de Hafencity, tout près de Speicherstadt et au bord de l’eau.
Le Elbphilarmonie, la nouvelle vedette du port de Hambourg.
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La vedette est incontestablement le Elbphilarmonie inauguré début 2017. Construit par les architectes Herzog & et de Meuron sur d’anciens entrepôts, il avance en proue sur l’Elbe et signe la ville de sa silhouette avec sa façade en miroirs et son toit en crêtes, culminant à 110 mètres au-dessus de l’eau.
L’escalator de l’Elbphilarmonie.
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Enfilades d’escaliers et de niveaux au sein de l’Elbphilarmonie.
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Les visiteurs du Elbphilarmonie se pressent sur la galerie extérieure.
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Vue de Hambourg depuis le Elbphilarmonie.
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Et le Elbphilarmonie n’est pas seulement une salle de concert fastueuse avec sa scène centrale, 4 765 tuyaux d’orgue et une acoustique définie par Yasuhisa Toyota grâce à des formes arrondies et une peau beige pâle au grain très particulier qui lui donnent un air de gigantesque cocon.
Différents grains de « peau » dans la salle du Elbphilarmonie de Hambourg.
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Le bâtiment abrite une salle de concert plus petite ainsi qu’un hôtel de 250 chambres, des restaurants et des cafés.
Souplesse et amplitude des formes de la salle du Elbphilarmonie de Hambourg.
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Et à 37 mètres de haut, c’est-à-dire là où les bâtiments anciens et nouveaux se rejoignent, les visiteurs peuvent déambuler librement et admirer Hambourg. Il ne faudrait pas que construction majeure éclipse d’autres réalisations comme la tour Marco Polo, appelée aussi le Kebab en raison de sa forme, le bâtiment Unilever, ou à l’entrée de Reeperbahn, les tours dansantes (Tanzende Türne) imaginées par Hardi Teherani.
Les tours dansantes de Hambourg, à droite, un peu cachées par les arbres.
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La tour Marco Polo et le bâtiment Unilever à Hambourg.
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Quelques exemples car Hambourg regorge de bâtiments contemporains créatifs et les chantiers en cours sont nombreux.
Der Spiegel à Hambourg.
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Mon hôtel à Hambourg
J’ai résidé à l’Hôtel Reichshof-Curio Collection by Hilton, tout près de la gare.
Façade de l’Hôtel Reichshof-Curio Collection by Hilton à Hambourg.
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Un bon point de départ pour circuler à pied ou prendre le métro. Je ne regrette qu’une chose, c’est de ne pas avoir pu profiter un peu plus de cet hôtel, occupée par ma découverte de la ville.
Le hall d’entrée du Reichshof-Curio collection by Hilton.
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C’est Anton Emil Langer, chef sur un paquebot de croisière, qui l’a ouvert en 1910. A l’époque, c’était le plus grand hôtel d’Allemagne et l’un des plus grands d’Europe.
Salle à manger du Reichshof-Curio Collection by Hilton.
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Rouvert en 2015 sous l’égide de la Curio Collection by Hilton, il a été modernisé mais son charme a été conservé : grand hall en marbre avec colonnes d’origine mais suspensions très contemporaines. Une rencontre très réussie.
Boiseries de la salle à manger de Reichshof-Curio Collection by Hilton.
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Les chambres sont confortables et une tablette est mise à disposition des clients pour découvrir l’histoire et les services du Reichshof-Curio Collection by Hilton.
Bar du Reichshof-Curio Collection by Hilton.
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Le restaurant a conservé ses chaleureuses boiseries et le petit-déjeuner offre une belle diversité de produits. A savoir, l’hôtel possède sa propre source, ce qui lui permet de préparer de délicieux thés et cafés car la qualité de l’eau est primordiale.
Mes restaurants à Hambourg
Je ne suis pas une fanatique de l’enseigne Hard Rock Café car le fond sonore est un peu fort pour moi mais je dois reconnaître que celui-ci vaut le détour et présente une particularité qui me l’a fait apprécier.
Sur les quais de Hambourg, le Pegeltrum.
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Il se situe au bord de l’Elbe sur les Landungsbrücken, jetées de St Pauli, dans les magnifiques bâtiments du Pegelturm.
Enfilade des bâtiments du Pegeltrum où est installé le Hard Rock Café de Hambourg et queue des clients devant l’établissement.
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Il s’agit d’un grand ensemble édifié entre 1907 et 1909 en pierres volcaniques, qui se compose d’une grande tour qui donne l’heure et indique aussi le niveau des crues. Il se continue par des bâtiments plus bas avec dômes et sculptures d’Arthur Bock du plus bel effet. A quelques mètres, on aperçoit l’entrée de l’ancien tunnel sous l’Elbe.
Sous la coupole, entrée de l’ancien tunnel de l’Elbe.
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Visite que je n’ai pas pu faire et qui est inscrite au programme de mon prochain passage à Hambourg.
Le Scandic Hotel Emporio est un hôtel mais on peut y déjeuner sans être client. Cette enseigne du nord de l’Europe est très attentive au développement durable et tout est fait pour que l’impact sur l’environnement soit minimisé.
Les couloirs du Scandic Hotel Emporio ouverts à l’art.
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Les chambres que j’ai pu apercevoir sont différentes les unes des autres et le Scandic Hotel Emporio est ouvert à l’art avec des galeries d’exposition.
Le restaurant HO2 du Scandic Hotel Emporio.
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La chaîne s’est implantée à Hambourg en 2012.
Mises en bouche au restaurant HO2.
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Dans son grand patio on peut profiter de sièges confortables avant de passer à table ou après le repas pour un moment de détente. L’hôtel propose salle de sport et sauna. La mise en lumière de l’ascenseur est imaginative.
L’un des espaces du HO2 de l‘hôtel Scandic Emporio.
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Il passe du bleu très clair dans les étages supérieurs au bleu foncé quand on descend dans les profondeurs du sous-sol où sont regroupés les espaces de soins.Le restaurant est baptisé HO2, un jeu de mot autour de l’eau et des deux O de Stockholm. La cuisine est inventive, goûteuse et légère.
Le restaurant Schönes Leben fut ma dernière étape gourmande à Hambourg.
Deux gardiens imposants à l’entrée du Schönes Leben.
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Une entrée gardée par deux chiens en céramique, un cadre mixant éléments anciens et décor contemporain, des plats que nous avons eu du mal à traduire en français mais qui se sont avérés à la hauteur de nos espérances.
Poutres en bois anciennes, ambiance paisible du Schönes Leben à Hambourg.
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Mais surtout, nous avions choisi de dîner en terrasse, une option qui s’imposait en raison du beau temps et de la vue que nous avions sur les bâtiments du Speicherstadt et des canaux. Un vrai plaisir.
Mes boutiques à Hambourg
Je suis désolée mais, cette fois, je ne peux pas proposer d’adresses shopping pour Hambourg. Mon voyage était court, dense et j’ai privilégié l’architecture. Si votre budget vous le permet, vous pouvez aller faire un tour dans le secteur de la rue Neuer Wall. La prochaine fois peut-être…
Aller à Hambourg
En tant que Bordelaise, j’ai pris le tout nouveau vol direct Bordeaux-Hambourg d’Easyjet qui assure trois dessertes hebdomadaires le mardi, le vendredi et le dimanche et le mardi, le jeudi et le dimanche à partir du 7 septembre et jusqu’à la fin du mois d’octobre. Easyjet assure d’autres vols vers Hambourg depuis la France, Nice et Bâle-Mulhouse.
Pour réaliser ce reportage, j’ai reçu le soutien d’Easyjet, du Hard Rock Café, de Hamburg Tourism, du Scandic Hotel Emporio, de l’Elbphilarmonie et de l’Aéroport de Bordeaux.