Car, s’agissant de Leclerc et de Pauline, Jean-Claude Fignolé les laisse à leurs propres obsessions. Ce qui donne à son livre tressé de trois discours parfois contradictoires une sorte de subjectivité éclatée, à travers laquelle apparaît une vérité floue – mais dont il faut bien se contenter. Le privilège du roman est de poser, sur un moment de l’Histoire, une grille de lecture dont chacun fait, en somme, ce qu’il veut. Et c’est très bien ainsi.
Car, s’agissant de Leclerc et de Pauline, Jean-Claude Fignolé les laisse à leurs propres obsessions. Ce qui donne à son livre tressé de trois discours parfois contradictoires une sorte de subjectivité éclatée, à travers laquelle apparaît une vérité floue – mais dont il faut bien se contenter. Le privilège du roman est de poser, sur un moment de l’Histoire, une grille de lecture dont chacun fait, en somme, ce qu’il veut. Et c’est très bien ainsi.