#cell #neurones #pallidumventral #dépression Des populations distinctes de neurones du pallidum ventral relayent des symptômes distincts de dépression.

Publié le 10 juillet 2017 par Tartempion77 @NZarjevski

Des symptômes distincts de dépression sont codés par des circuits discrets du pallidum ventral qui projettent vers des régions distinctes du cerveau contribuant à la dépression.   

Les patients atteints de trouble dépressif majeur présentent une série de symptômes qui rendent difficile d’assurer à tout coup le succès d’un traitement soutenu. Des symptômes dépressifs distincts peuvent être codés par des circuits distincts dans le cerveau ; toutefois, nous ne savons toujours pas comment des circuits discrets sous-tendent toute une gamme de comportements liés à la dépression, et comment ils adaptent la réponse au stress. Nous identifions ici deux circuits discrets de neurones positifs à la paravalbumine dans le pallidum ventral (PV) projetant vers l’habenula latérale ou l’hypothalamus ventromédian, contribuant à la dépression. Nous trouvons que ces populations de neurones subissent différentes adaptations électrophysiologiques en réponse à un stress de défaite sociale, normalisé par un traitement antidépresseur. De plus, une manipulation de chacune de ces populations est médiatrice, soit d’un comportement de retrait social, soit de comportement désespéré ; mais pas des deux. Nous proposons que chaque composante distincte du circuit de neurones paralbumines-positifs du pallidum ventral régissent des phénotypes analogues à la dépression distincts toutefois, chez la souris, qui pourraient fournir une plateforme de traitements symptômes-spécifiques de la dépression. Daniel Knowland et al, Dans Cell, publication en ligne en avant-première, 6 juillet 2017
Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et adaptation : NZ