Attiéké par-ci, Aloko par-là. Sans oublier tout ce qui accompagnait comme le poisson cap, le poulet et la sauce. Les hôtes étaient bien gâtés. Du coup chacun ne levait la tête que pour placer un mot quant au gout délicieux de son plat.
« Pourquoi je ne suis pas né Ivoirien », osa dire le Lushois
Ce qui amusa les autres.
Quand on mange Attikié, faut être concentré sur son assiete. " class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" /> N’est ce pas @benjamin_yobouet ? #CIV
Une publication partagée par Guy Muyembe (@guymuyembe) le 28 Juin 2017 à 21h13 PDT
Par moment, Patrice prenait la parole pour dire un mot au sujet d’un des aliments.
« Attiéké est une semoule à base de manioc* qui constitue la denrée alimentaire la plus consommée à Abidjan. C’est vers le début de la journée que la population s’en va vers les points d’approvisionnement pour s’en procurer. On peut en manger aussi bien le matin, à midi que le soir. »
« Tiens ! » s’exclama le Lushois en pensant à son Bukari qui se mange rarement dans la matinée.
Bref, ils mangèrent bien ce jour-là. Un de ces repas où on découvre la culture d’un pays et par là même l’hospitalité de son peuple.
« Ah ! La Côte d’Ivoire ! Quel pays magnifique ! »
Un sourire complice de Maemi Ndri vint appuyer le remarque d’un homme séduit par la beauté de l’art de vie à l’ivoirienne.
Tout de suite après, le côté geek s’empara de tout le monde excepté Patrick. Smartphone en main nul ne voulait rater ce qui se disait à l’instant sur les réseaux sociaux. Et Vony désirait ardemment passer un coup de fil pour communiquer avec les siens restés à Madagascar.
« Guy, je suis amoureux de la musique congolaise », souffla Patrick.