⭐ Beckman, de Grace Burrowes
Date de sortie : 31 mai 2017
Son résumé :
Remis d’un profond chagrin, Beckam accepte de restaurer le domaine familiale et s’éprend de la gouvernante du lieu. Cependant, Sara Hunt qui semble pourtant partager ses sentiments, refuse sa demande en mariage.
Prix éditeur : 7,40€
" data-orig-size="650,1051" sizes="(max-width: 250px) 100vw, 250px" data-image-title="Les Lords Solitaires Tome 4 : Beckman de Grace Burrowes" data-orig-file="https://artemissia.files.wordpress.com/2017/04/backman.jpg" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}" width="250" data-medium-file="https://artemissia.files.wordpress.com/2017/04/backman.jpg?w=250&h;=404" data-permalink="https://songedunenuitdete.com/2017/04/22/en-mai-fais-ce-quil-te-plait-avec-les-sorties-jai-lu-pour-elle/backman/" alt="" height="404" srcset="https://artemissia.files.wordpress.com/2017/04/backman.jpg?w=250&h;=404 250w, https://artemissia.files.wordpress.com/2017/04/backman.jpg?w=500&h;=808 500w, https://artemissia.files.wordpress.com/2017/04/backman.jpg?w=62&h;=100 62w" class="size-medium wp-image-140639 alignleft" data-large-file="https://artemissia.files.wordpress.com/2017/04/backman.jpg?w=464" />Nombre de pages : 384 pagesSérie : Les Lords solitaires
Éditeur : J’ai Lu pour elle Date de sortie : 31 mai 2017Collection : Aventures & PassionsLangue : FrançaisISBN-13 : 9782290139882Prix Éditeur : 7,40 eurosDisponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Mandaté par sa grand-mère, Beckman Haddonfield débarque à Three Springs pour s’occuper du domaine grevé de dettes. Il y découvre une poignée d’employés qui font vivre l’endroit tant bien que mal. Mais tous ces gens semblent cacher bien des secrets. Il y a North, le régisseur bourru, qui a manifestement une éducation de gentleman. Polly, la cuisinière, véritable cordon bleu et artiste-peintre de talent. Et surtout sa soeur Sara, qui tient le rôle de gouvernante. Beckman se rend vite compte que, sous ses airs fiers et distants, cette rousse évanescente est une femme passionnée qu’une étincelle suffirait à enflammer. Et bientôt, c’est un brasier qui flambe en lui…
Mon avis :
Alors il y a du bon et du moins bon dans ce texte. Commençons par ce qui m’a vraiment gênée tout au long de ma lecture : la non-distanciation entre le maître et les domestiques.
Beckman, le héros éponyme, est envoyé par sa grand-mère pour s’occuper d’un domaine complètement endetté. Alors soit il n’est pas le propriétaire à proprement parler, mais il représente quand même la maîtresse de maison. Or les domestiques le traitent quasiment comme l’un des leurs. Il n’y a pas de date pour l’époque du roman, mais on peut le situer sans problème au XIXe siècle, et les relations maîtres-domestiques n’étaient pas aussi légères. On a presque l’impression que l’auteur a voulu rendre son texte plus contemporain tout en le plaçant dans un contexte passé. Ça ne choque pas que Beckman déjeune avec les domestiques, qui peuvent l’envoyer faire une commission ou aller chercher quelque chose en toute normalité.
Ça m’a vraiment dérangée, car l’une des raisons pour lesquelles j’apprécie les romances historiques, c’est justement parce que j’aime sentir ces codes sociaux si différents de notre époque, ces échanges un peu guindés, ces fracturations entre les « gens du haut » et les « gens du bas », et là cette frontière est brouillée dès le début.
Paradoxalement, j’ai bien aimé la partie « domestique ». Les personnages sont intéressants : Polly, Sara et l’intrigant North. Ils restent d’une fidélité à toute épreuve, essayant de tenir du mieux qu’ils peuvent la demeure en bon état. Mais ça ne suffit malheureusement pas pour rattraper mon avis.
Nous suivons donc Sara et sa soeur Polly. Les deux femmes ont des choses à cacher, c’est très rapidement visible. Mais l’auteur aurait pu davantage creuser cette intrigue et tout le mystère autour. Malheureusement, les « méchants » ne sont pas très impressionnants et les problèmes des deux domestiques entraînent plus de bâillements qu’autre chose.
Je ne vais pas continuer cette chronique très longtemps, vous aurez compris que je suis plus que sceptique. C’est dommage, traité un peu différemment ça aurait pu être un moment de lecture plus agréable.
⭐ Chroniques des tomes précédents
⭐ Beckman, de Grace Burrowes
Date de sortie : 31 mai 2017
Son résumé :
Remis d’un profond chagrin, Beckam accepte de restaurer le domaine familiale et s’éprend de la gouvernante du lieu. Cependant, Sara Hunt qui semble pourtant partager ses sentiments, refuse sa demande en mariage.
Prix éditeur : 7,40€
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Éditeur : J’ai Lu pour elle Date de sortie : 31 mai 2017Collection : Aventures & PassionsLangue : FrançaisISBN-13 : 9782290139882Prix Éditeur : 7,40 eurosDisponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Mandaté par sa grand-mère, Beckman Haddonfield débarque à Three Springs pour s’occuper du domaine grevé de dettes. Il y découvre une poignée d’employés qui font vivre l’endroit tant bien que mal. Mais tous ces gens semblent cacher bien des secrets. Il y a North, le régisseur bourru, qui a manifestement une éducation de gentleman. Polly, la cuisinière, véritable cordon bleu et artiste-peintre de talent. Et surtout sa soeur Sara, qui tient le rôle de gouvernante. Beckman se rend vite compte que, sous ses airs fiers et distants, cette rousse évanescente est une femme passionnée qu’une étincelle suffirait à enflammer. Et bientôt, c’est un brasier qui flambe en lui…
Mon avis :
Alors il y a du bon et du moins bon dans ce texte. Commençons par ce qui m’a vraiment gênée tout au long de ma lecture : la non-distanciation entre le maître et les domestiques.
Beckman, le héros éponyme, est envoyé par sa grand-mère pour s’occuper d’un domaine complètement endetté. Alors soit il n’est pas le propriétaire à proprement parler, mais il représente quand même la maîtresse de maison. Or les domestiques le traitent quasiment comme l’un des leurs. Il n’y a pas de date pour l’époque du roman, mais on peut le situer sans problème au XIXe siècle, et les relations maîtres-domestiques n’étaient pas aussi légères. On a presque l’impression que l’auteur a voulu rendre son texte plus contemporain tout en le plaçant dans un contexte passé. Ça ne choque pas que Beckman déjeune avec les domestiques, qui peuvent l’envoyer faire une commission ou aller chercher quelque chose en toute normalité.
Ça m’a vraiment dérangée, car l’une des raisons pour lesquelles j’apprécie les romances historiques, c’est justement parce que j’aime sentir ces codes sociaux si différents de notre époque, ces échanges un peu guindés, ces fracturations entre les « gens du haut » et les « gens du bas », et là cette frontière est brouillée dès le début.
Paradoxalement, j’ai bien aimé la partie « domestique ». Les personnages sont intéressants : Polly, Sara et l’intrigant North. Ils restent d’une fidélité à toute épreuve, essayant de tenir du mieux qu’ils peuvent la demeure en bon état. Mais ça ne suffit malheureusement pas pour rattraper mon avis.
Nous suivons donc Sara et sa soeur Polly. Les deux femmes ont des choses à cacher, c’est très rapidement visible. Mais l’auteur aurait pu davantage creuser cette intrigue et tout le mystère autour. Malheureusement, les « méchants » ne sont pas très impressionnants et les problèmes des deux domestiques entraînent plus de bâillements qu’autre chose.
Je ne vais pas continuer cette chronique très longtemps, vous aurez compris que je suis plus que sceptique. C’est dommage, traité un peu différemment ça aurait pu être un moment de lecture plus agréable.