Oui oui, j’arrive. D’ailleurs l’odeur du café tout frais suffit à me faire sortir du lit. Et quand ce sont mes enfants qui me l’apportent au lit sur un plateau, je fonds littéralement. Bien sûr je préférerais qu’ils s’annoncent autrement que par cette expression militaire (“Le poilu tel qu’il se parle”de Gaston Esnault, 1929) !
- Je sais que Zéphyr est un expert en café : je ne vais pas avoir à fermer les yeux pour avaler un vague jus de chaussettes.
- Ce sera un grand cru bien préparé. Qui vaudra le jus, la peine d’être dégusté à petites gorgées.
- Pour l’instant tous les deux mijotent dans leur jus, ils attendent ma réaction. Quand ils auront posé leur plateau, ils auront droit à un gros câlin et d’énormes bisous.