J'ai un peu de peine. Dans les villages on se connaît tous, et j'ai une proche cousine et des amis dans la liste victorieuse. Mais certaines méthodes et valeurs me sont insupportables, et malgré le bon rosé de Provence ce soir, une amertume remonte de l'osophage.
Mais une fois que j’ai fini de disserter maladroitement sur la nature humaine, je vois mon grand bébé courir dans les arrosages et rire aux éclats. Les élections et jeux de pouvoir il s'en branle.
Je les aime mes bébés. Sans doute est ce pour moi une fuite facile, une excuse à deux balles, mais bon...