Nous avons épuisé quasiment toutes les sources d'énergie.
La nature n'en peut plus, l'eau et l'air se raréfient.
Cette lente agonie est visible à l'œil nu.
La Nature nous tient plus que nous n'y tenons.
Nous ne pouvons la tenir longtemps sous perfusion.
Nous avons de plus en plus de mal à récolter ce que nous avons semé à force de souiller l'eau et de polluer l'air.
Et le problème n'est pas seulement écologique mais démographique.
Nous sommes de plus en plus nombreux à occuper les lieux et y mettre le feu.
Nous mourons d'étouffement plutôt que d'épuisement.
Et toute écologie qui fait l'ange, devient bête en feignant d'ignorer que toutes les solutions sont vouées à l'échec et seront tôt ou tard déclarées obsolètes.
La solution est politique ou devrait l'être se disent tous les écolo-sceptiques. On l'appelle : économie du marché.
On incite les gros à marcher sur les petits.
Les guerres, le nucléaire et les investissements militaires n'ont pas d'autre ambitionque de rendre la planète "Great again".
Louer les forts, blâmer les faibles.
Prêter aux riches, emprunter aux pauvres.
Vivre et laisser mourir... il n'y a pas d'autre issue que le rendement !
C'est un mélange de cynisme et de réalisme pour lutter contre le réchauffement climatique.
Qu'importe le Sud, pourvu qu'on ne perde pas le Nord...
Les hommes n'ont hélas pas toujours compris que la seule énergie qu'il faut renouveler c'est celle de leur entendement !