L'auberge de la Jamaïque de Hitchcock : un film de brigands ou de femmes ? Ou, de la complexité de l'âme humaine qui complique tout ?
D'un côté, il y a les hommes, qui ne sont concernés que par eux-mêmes, par leur bon plaisir, y compris, peut-être, lorsqu'il s'agit de la gloire qu'il y a à servir la justice. De l'autre la femme est amour, de son homme ou de l'humanité ou de sa famille. Tout cela lui fait faire des choses contradictoires, et pas toujours bonnes. Tour à tour, elle sauve ou compromet la justice. L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions.
Peut-être est-ce le jeu de ces forces qui finit par faire que le monde va dans la bonne direction ? Ou peut-être cela plaide-t-il pour le principe de précaution : ne suivons pas mécaniquement nos principes ?