Their Finest (Ciné)

Par Bigreblog

Hello la blogo!

Après un peu – beaucoup – de corrections me revoici avec la review d’un film que j’ai eu le temps d’aller voir hier avec ma tite Maman, un film qui nous a méchamment harponnées à grands coups de casting et de scénario, et un film sacrément en compétition pour la palme de 2017!

Je ne spoile rien, comme d’habitude!

1940. Londres. Catrin Cole est engagée par le Ministère de la Guerre pour aider une équipe de scénaristes à créer un film de propagande qui remontera le moral de la population. Tout d’abord engagée pour les scènes féminines, Catrin impose petit à petit sa touche dans un monde résolument masculin…

Vous le savez, je suis particulièrement friande de films sur la Seconde Guerre Mondiale. Et si je peux y apprendre des choses, c’est encore mieux. Je ne suis pas une sommité sur le sujet, et j’aime apprendre toujours plus. Surtout quand c’est au sujet de l’Histoire d’un autre pays que le mien. Surtout quand c’est anglais.

A priori, je savais que l’Angleterre avait sorti pas mal de films pendant la guerre, notamment pour faire sourire sa population. Mais Their Finest m’a appris que ces films étaient aussi une manière de faire passer des idées, qu’elles soient petites ou grandes, et que certaines d’entre elles ont sans doute changé l’issue du conflit.

Et en plus, c’est féministe. Une femme dans un monde d’hommes qui s’impose à eux et devient finalement leur ancre (et leur encre) et c’est beau.

Et de toute façon ce casting ne pouvait que péter des flammes.

Gemma Arterton fait partie des actrices que j’aime le plus sur cette planète. D’autant plus qu’elle est parfaitement bilingue en français (et cet accent est trop trognon). Sa Catrin est ici galloise, et fichtrement adorable…

Sam Calflin, qui incarne son co-scénariste, Tom Buckley, est un chieur de première à qui les lunettes et la moustache vont trop bien. Je demande un remboursement. ❤

Quant à Bill Nighy, le vieil acteur diva, il est juste tellement parfait que ça frise. J’aime cet homme depuis si longtemps que je devrais devenir présidente de son fan-club, sérieux. Love love love love. ❤

Et en vrac: Helen McCrory, toujours aussi sublime; Eddie Marsan; ou encore Richard E. Grant.

Bref: que du beau monde.

Et un period drama qui nous apprend des choses, qui ne finit pas comme on le souhaiterait, et qui est juste tellement beau visuellement et tellement prenant qu’il faut d’office aller le voir. Fissa.

Note: 8,25/10 (scénario: 8/10jeu: 10/10BO: 7/10drama: 8/10)