Hier, c’était mon anniversaire. Mon premier cadeau a été un rêve lucide où je rencontre un Phoenix, et tiens ensuite une conversation avec un de mes guides.
Rêve lucide : rencontre avec le Phoenix
Entrer dans le rêve
Il est tôt le matin et je me réveille. Aujourd’hui c’est mon anniversaire, alors je demande intérieurement à avoir un cadeau pour mon esprit, par exemple faire un rêve lucide ou une sortie hors du corps…
Je me surprends à attendre que ce cadeau provienne du ciel, de mes guides ou d’une source extérieure. Ayant pris conscience de cela, je me dis « non, c’est moi qui vais me le donner ! ». Et là, une prise de conscience se fait en moi : je « demande », et souvent j’attends inconsciemment que cela me soit donné par l’extérieur. Alors qu’en réalité, je sais très bien que c’est nous qui nous donnons à nous-même les choses.
Alors, avec le pouvoir de mon intention, je me visualise me donner ce cadeau. Je me visualise entrer et exister dans cette réalité où je me suis donné ce cadeau. Cela fait vraiment du bien de sentir que l’on peut se donner les choses à soi-même.
Alors, je prends ma position habituelle pour dormir.
Avant même que je n’ai le temps de le réaliser, je me suis endormi. Mais, en fait, je suis toujours conscient. Il n’y a « rien » devant moi, je suis dans un vide bizarre, comme dans un « entre deux ». Et là, je prends conscience de mes mains « astrales » qui sont devant moi. Mon corps est endormi et moi je suis conscient de mon corps subtil. Mes mains subtiles sont jointes, paume contre paume.
Je me rappelle alors qu’en concentrant mon attention sur mes mains subtiles, et sur les sensations associés, je transfère ma conscience dans cette dimension.
C’est ce que je fais : j’imagine mes mains subtiles se frotter l’une à l’autre. Je ressens mon corps de rêve. Je le sens, j’y suis.
D’un coup sec et doux à la fois, je suis projeté dans un endroit avec de l’herbe.
Me voilà totalement lucide, entré dans mon rêve.
Le gâteau d’anniversaire
Je me retrouve sur une étendue d’herbe, devant une maison qui apparemment, est la nôtre. Elle ne ressemble pas à la maison que ma compagne et moi avons, mais je suis conscient que ce n’est qu’une représentation car c’est un rêve. Je tourne autour de la maison, et tente de voir au dedans. Je suis curieux de voir ce que ma compagne est en train de faire ! J’aimerais bien revenir de ce rêve et avoir vu quelque chose qui s’est passé dans la réalité matérielle. Cela serait étonnant et drôle !
Je tourne alors autour de la maison pour tenter de voir ma compagne. La maison est sombre, il n’y a pas de lumière. Je vois de la lumière émanant de ce qui semble être la cuisine. J’ai l’impression que je ne peux pas y aller. Je me rappelle alors que lorsqu’il y a une dimension « secrète », on ne peut pas accéder aux informations. En fait, c’est moi qui ne veux pas y accéder : c’est une surprise et je ne souhaite pas la gâcher. Le rêve s’est aligné sur cela et me fait comprendre qu’il y a de la lumière, il se passe quelque chose, mais je n’y accéderai pas.
Je m’en vais et change mon point d’intérêt. Je me retrouve sur une étendue d’herbe.
Je me rends compte que le rêve est devenu quelque peu trouble, comme s’il y avait un brouillard. En fait, ma conscience est moins bien focalisée, et le rêve s’évanouit.
Pour palier à cela, je concentre toute mon attention sur ma dimension « rêve », sur la partie de moi qui rêve. Alors, le rêve devient de nouveau clair et définit.
Je me dis : « que fais-on maintenant ? »
Rencontre avec le Phoenix
Avant même que je n’ai le temps de réfléchir à la question « que fais-on maintenant ? », j’entends un cri puissant dans mon dos. Il est strident et profond à la fois, comme celui d’un aigle. Je me retourne et je vois dans les air un oiseau d’une envergure gigantesque. Ses couleurs prédominantes sont le rouge et le jaune, sa queue est très élancée et fournie. Il se met alors à piquer vers le ciel, à voler d’une manière très rapide en s’élançant vers les cieux.
Je suis là, à contempler le majestueux volatile, et je suis ébahi par la beauté du spectacle. Je me dis « comme c’est beau… », et suis ému par la scène, une larme de joie et de nostalgie coule en voyant la beauté de cet être.
Je me dis : ce doit être un Phoenix.
L’oiseau se pose alors sur un poteau électrique, très en hauteur. Je lui fais signe d’approcher. C’est une conversation sans mots ni geste, purement télépathique.
Ce bel être se pose alors au sol, à un mètre de moi.
Je sens qu’il a peur. Ou peut-être est-ce moi. A la fois, je suis déterminé à entrer en contact avec lui.
Je lui tend la main, comme on le ferait quand on souhaite gagner la confiance d’un animal.
D’une manière instinctive, il me mord la main. Je ne réagis pas, je sais que c’est la peur qui le fait réagir comme cela. Je laisse ma main tendue et lui dis que je suis là pour entrer en contact avec lui. Il devient alors calme et confiant, et je peux l’approcher.
Je caresse alors délicatement son visage et sens son doux duvet. Sa tête est énorme, elle fait deux ou trois de mes mains, en diamètre.
Il est content et je suis content. Ce moment est très agréable, je sens une belle communion entre cet animal et moi. Ce moment dure une seconde et semble durer une éternité à la fois.
Je me retrouve alors projeté dans un endroit, à peu près similaire. L’oiseau a disparu
Le gâteau !
Je croise alors ma douce et tendre. Je commence à lui parler. Elle semble très occupée, elle est pressée. Elle part en courant. Je comprends télépathiquement qu’elle doit sortir le gâteau du four. Elle court dans tous les sens et semble avoir beaucoup à faire. Cela me fait rire, car je sais que dans la vraie vie elle est en train de tout préparer pour mon anniversaire. Comme c’est adorable !
Discussion avec un guide
De nouveau, le rêve semble avoir perdu en intensité. Je focalise toute ma conscience sur le fait de revenir pleinement dans le rêve. Avec mon intenton, j’imagine transférer ma conscience pour être pleinement dans cette dimension. En une seconde, je reviens totalement dans le rêve.
Je me vois alors, assis, avec un de mes guides spirituels.
A la fois, c’est comme s’il n’y avait plus aucune scène. Je ne suis plus là, mon guide n’est pas là. C’est comme si le rêve était devenu totalement éthéré, sans structure ni matière. Mais une conversation entre lui et moi commence.
Je me souviens demander à cet ami : « et sinon, comment ça se passe là-haut ? »
Il répond : « oh tu sais, ça va bien… » et ajoute « bon là on vient de se prendre 2 à 0 mais ça va »
Je me demande bien de quoi il peut parler… Je ne comprends pas mais fais comme si : « ah…euh…ok »
Alors, je lui demande : « aurais-tu un conseil pour moi, pour la suite des événements ? »
Il me dit alors que ma leçon du moment est d’intégrer la passion à la vie.
Il me dit « l’enthousiasme sans la passion, ça donne ça : ». Il me montre alors télépathiquement l’image de mon ancien travail d’ingénieur. Je prends conscience que je n’avais aucune passion pour ce travail mais simplement une sorte d’enthousiasme lié au fait d’être important, avec des responsabilité et un salaire.
Il me dit qu’on ne peut pas vraiment vivre en étant enthousiaste et déconnecté de sa passion.
Il m’explique que la passion est le cœur de ce que l’on est et que c’est notre vrai moteur.
La passion, ce sont les braises, qui permettent de perpétuellement rallumer le feu de l’enthousiasme.
Sans passion, l’enthousiasme ne peut être réellement entretenu, sans douleur ni concessions.
La passion est le cœur de notre être, et nous permet de réellement entreprendre les choses jusqu’au bout, avec une énergie positive et entraînante.
Je comprends qu’en effet, mon défi du moment est de reconnecter cette passion qui est en moi. Ce conseil résonne en moi comme LE conseil dont j’avais besoin en ce moment.
Je remercie infiniment mon guide.
Je me réveille.