Mon nouveau roman, Où s'imposent les silences, est donc paru il y a quelques jours avec une fabuleuse illustration de Pascal Casolari en couverture, dont, à n'en pas douter, vous avez déjà eu l'occasion d'admirer le boulot (jetez un petit coup d'oeil ici et ça vous rappellera à coup sûr certaines de vos évasions littéraires). La fébrilité est la même que lors de la parution de Dormeurs, l'envie de partager cette histoire avec les lecteurs tout aussi intense...
Et comme une histoire, justement, vaut mieux que de longs discours, je vous laisse découvrir le résumé de l'histoire, pour lequel nous avons tenté d'en dévoiler le moins possible tant la narration s'articule autour d'un effet de surprise. Tout ça pour dire que si vous voulez vous laisser colleter, ne lisez pas les lignes qui suivent...
D’où que vous veniez, quelle que soit votre Terre d’origine, êtes-vous sûr de vouloir lire les lignes qui suivent ? De vous entendre résumer une histoire en quelques mots sous prétexte qu’ils vous éclaireraient sur son contenu ? Voulez-vous vraiment savoir ce que recèlent ces pages ?
Soit. Sachez donc que vous allez partir à la rencontre d’un étudiant confronté à un tableau de la Renaissance pour le moins anachronique, d’un flic enquêtant sur un cadavre improbable, et d’une femme amnésique se réveillant dans un champ désolé. Trois personnes rattrapées par le déséquilibre des mondes.
Si votre Loi vous y autorise, ouvrez ce livre, avant que ne s’imposent les silences.
Il va sans dire que si vous souhaitez échanger autour de ce livre, les commentaires vous sont ouverts !