Sous les ruines d’un monde ancien grouille la vie… Dans une ville croulante, sur une planète mourante et oubliée de tous, le jeune Annelyn profite de la fête organisée à l’occasion de la nouvelle Mascarade solaire. Superbe dans son costume de soie, son arrogance est à la hauteur de sa beauté. Quand il est moqué devant ses nobles amis par le Viandard, chasseur de grouns, il échafaude un plan de revanche. Mais la terrible vérité qui se cache derrière l’histoire de son ennemi va transformer sa tentative en une inexorable descente aux enfers…
⭐ Dans la maison du ver de George R.R. Martin
Semi-Poche : 136 pages
Editeur : Pygmalion
Date de sortie : 24 mai 2017
Collection : FANTASY
Langue : Français
ISBN-10 : 275642191X
ISBN-13 : 978-2756421919
Prix éditeur : 15€
Disponible sur liseuse : OuiDe quoi ça parle ?
Sous les ruines d’un monde ancien grouille la vie… Dans une ville croulante, sur une planète mourante et oubliée de tous, le jeune Annelyn profite de la fête organisée à l’occasion de la nouvelle Mascarade solaire. Superbe dans son costume de soie, son arrogance est à la hauteur de sa beauté. Quand il est moqué devant ses nobles amis par le Viandard, chasseur de grouns, il échafaude un plan de revanche. Mais la terrible vérité qui se cache derrière l’histoire de son ennemi va transformer sa tentative en une inexorable descente aux enfers…
⭐ Mon avis :
Dans la maison du ver est une nouvelle de George R.R. Martin qui fut initialement publiée en 1976 (en VO) dans un recueil de contes horrifiques : The Ides of Tomorrow. Comme vous pouvez le constater ce n’est pas récent, mais au vu de son grand succès public, grâce à Game Of Thrones, cette nouvelle se voit publiée à part, et ce, pour le plus grand plaisir des fans de l’auteur. Je tiens d’ailleurs à saluer l’effort mis dans la qualité de l’ouvrage et sa beauté. Il est juste splendide. Les éditions Pygmalion savent gâter leurs lecteurs.
Dans la maison du ver est vraiment un conte qui m’a mise mal à l’aise. Le lecteur se retrouve plongé corps et âme dans un océan de noirceur où l’homme semble cohabiter avec des créatures de cauchemars. Dévorer ou être dévoré, tel semble être le seul but de leur existence. Nous suivons le héros, Annelyn, qui nous apparaît orgueilleux, vantard et cruel dans un premier temps, mais qui finira par gagner toute notre sympathie au cours de son ascension dans des tunnels sombres, obscurs et effrayants qui n’en finissent pas.
Un conte horrifique qui joue sur nos peurs les plus profondes avec une très grande maitrise du sujet.
Le lecteur ainsi que le héros, voyagent à travers des dédales sombres, sans lumière, dans lesquels se tapissent des monstres qui, eux, n’ont aucun mal à y voir. Impossible de ne pas avoir le cœur qui bat de frayeur à chaque passage. C’est là que l’on regrette de ne pas être nyctalope. J’ai vraiment eu du mal à ne pas me sentir angoissée, car même si, comme Annelyn, j’ai avancé un peu à l’aveuglette, il mettait bien difficile de ne pas m’immerger totalement dans la quête de sa survie.
G.R.R. Martin nous dépeint avec une plume bien à lui, un univers étriqué, oppressant, dans lequel les croyances prévalent sur tout le reste. Impossible de ne pas faire la liaison avec Game Of Thrones tellement l’ambiance y ressemble, mais en bien pire, en bien plus glauque encore si cela est possible.
Étrangement et c’est une impression toute personnelle, j’avais la sensation que le héros et ses créatures de cauchemars évoluaient dans un dédale d’intestin sans fin, comme s’ils vivaient enfermés dans le corps de quelque chose.
Si vous n’avez pas peur du noir, si vous n’êtes pas claustrophobe de nature ou si tout simplement vous aimez sortir de votre zone de confort pour goûter au charme d’un univers cauchemardesque, Dans la maison du ver saura vous ravir.
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé cette angoisse et ce malaise qui ne m’ont pas quitté une seule seconde tout le long de ma lecture. Voici un conte horrifique d’une terrible cruauté écrit avec un certain génie par le maître du genre. À découvrir si la Dark Fantasy est votre genre et que vous n’avez pas froid aux yeux !
Sous les ruines d’un monde ancien grouille la vie… Dans une ville croulante, sur une planète mourante et oubliée de tous, le jeune Annelyn profite de la fête organisée à l’occasion de la nouvelle Mascarade solaire. Superbe dans son costume de soie, son arrogance est à la hauteur de sa beauté. Quand il est moqué devant ses nobles amis par le Viandard, chasseur de grouns, il échafaude un plan de revanche. Mais la terrible vérité qui se cache derrière l’histoire de son ennemi va transformer sa tentative en une inexorable descente aux enfers…
⭐ Dans la maison du ver de George R.R. Martin
Semi-Poche : 136 pages
Editeur : Pygmalion
Date de sortie : 24 mai 2017
Collection : FANTASY
Langue : Français
ISBN-10 : 275642191X
ISBN-13 : 978-2756421919
Prix éditeur : 15€
Disponible sur liseuse : OuiDe quoi ça parle ?
Sous les ruines d’un monde ancien grouille la vie… Dans une ville croulante, sur une planète mourante et oubliée de tous, le jeune Annelyn profite de la fête organisée à l’occasion de la nouvelle Mascarade solaire. Superbe dans son costume de soie, son arrogance est à la hauteur de sa beauté. Quand il est moqué devant ses nobles amis par le Viandard, chasseur de grouns, il échafaude un plan de revanche. Mais la terrible vérité qui se cache derrière l’histoire de son ennemi va transformer sa tentative en une inexorable descente aux enfers…
⭐ Mon avis :
Dans la maison du ver est une nouvelle de George R.R. Martin qui fut initialement publiée en 1976 (en VO) dans un recueil de contes horrifiques : The Ides of Tomorrow. Comme vous pouvez le constater ce n’est pas récent, mais au vu de son grand succès public, grâce à Game Of Thrones, cette nouvelle se voit publiée à part, et ce, pour le plus grand plaisir des fans de l’auteur. Je tiens d’ailleurs à saluer l’effort mis dans la qualité de l’ouvrage et sa beauté. Il est juste splendide. Les éditions Pygmalion savent gâter leurs lecteurs.
Dans la maison du ver est vraiment un conte qui m’a mise mal à l’aise. Le lecteur se retrouve plongé corps et âme dans un océan de noirceur où l’homme semble cohabiter avec des créatures de cauchemars. Dévorer ou être dévoré, tel semble être le seul but de leur existence. Nous suivons le héros, Annelyn, qui nous apparaît orgueilleux, vantard et cruel dans un premier temps, mais qui finira par gagner toute notre sympathie au cours de son ascension dans des tunnels sombres, obscurs et effrayants qui n’en finissent pas.
Un conte horrifique qui joue sur nos peurs les plus profondes avec une très grande maitrise du sujet.
Le lecteur ainsi que le héros, voyagent à travers des dédales sombres, sans lumière, dans lesquels se tapissent des monstres qui, eux, n’ont aucun mal à y voir. Impossible de ne pas avoir le cœur qui bat de frayeur à chaque passage. C’est là que l’on regrette de ne pas être nyctalope. J’ai vraiment eu du mal à ne pas me sentir angoissée, car même si, comme Annelyn, j’ai avancé un peu à l’aveuglette, il mettait bien difficile de ne pas m’immerger totalement dans la quête de sa survie.
G.R.R. Martin nous dépeint avec une plume bien à lui, un univers étriqué, oppressant, dans lequel les croyances prévalent sur tout le reste. Impossible de ne pas faire la liaison avec Game Of Thrones tellement l’ambiance y ressemble, mais en bien pire, en bien plus glauque encore si cela est possible.
Étrangement et c’est une impression toute personnelle, j’avais la sensation que le héros et ses créatures de cauchemars évoluaient dans un dédale d’intestin sans fin, comme s’ils vivaient enfermés dans le corps de quelque chose.
Si vous n’avez pas peur du noir, si vous n’êtes pas claustrophobe de nature ou si tout simplement vous aimez sortir de votre zone de confort pour goûter au charme d’un univers cauchemardesque, Dans la maison du ver saura vous ravir.
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé cette angoisse et ce malaise qui ne m’ont pas quitté une seule seconde tout le long de ma lecture. Voici un conte horrifique d’une terrible cruauté écrit avec un certain génie par le maître du genre. À découvrir si la Dark Fantasy est votre genre et que vous n’avez pas froid aux yeux !