Lord John Grey T.3 : Le Prisonnier Ecossais - Diana Gabaldon

Quatrième de Couverture :

Lake District, Angleterre, 1760. Jamie Fraser vivrait une existence presque paisible depuis sa libération conditionnelle si le souvenir de Claire, sa femme disparue, ne venait le hanter chaque nuit... Londres, la même année. Lord John Grey se retrouve en possession de documents révélant une affaire de corruption au sein de l'armée britannique. Il n'a d'autre choix que de convoquer Jamie. Bientôt, les deux hommes arpentent les périlleuses routes d'Irlande sur les traces d'un officier à l'origine d'un vaste complot...

Note :

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Avis :Alors ce roman est le troisième de la série « Lord John Grey », mais il peut se lire sans avoir lu les autres – comme je l’ai fait. Je l’ai lu après le tome 2 de la série principale, même si l’auteur conseille plutôt de le lire après le tome 3.
L’histoire se centre sur une période de la vie de Jamie après la guerre et avant son retour en Ecosse. C’est une histoire très centrée sur la politique. Cumulé avec les noms des différents protagonistes anglais, j’ai parfois eu un peu de mal à suivre.
Mais j’ai pris un vrai plaisir à retrouver les personnages. J’ai aimé également évolué avec le frère de Grey et Minnie. Ce sont des personnages qui ne prendront de l’importance que plus tardivement dans la série principale, mais comme j’ai déjà lu le dernier tome je les « connais » bien.
C’est un livre vraiment plaisant à lire pour les amateurs de la série principale. Surtout si on a lu les derniers tomes. Je dirai même plus, surtout si on a lu les derniers tomes de la série. Car si on lit cette nouvelle série juste après le tome 2 ou 3, je pense qu’on y perd un peu à découvrir de « nouveaux » personnages ainsi.
Bref, vous aimez Jamie ? Alors vous allez adorer cette nouvelle histoire. Surtout que les personnages, principaux s’entend, sont très plaisants et on passe de très bon moments avec eux. C’était un peu étrange de ne pas avoir le personnage de Claire, avec ses pensées et ses réflexions anachroniques, mais finalement, même si ça change le « style », c’est très agréable.
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