Selon le bilan du service de médecine légale de l'EHU 1er-Novembre, 15 femmes ont été violentées par leurs maris lors des 9 premiers jours du Ramadhan.
Ces dernières ont été victimes de coups de poing ou de gourdins leur causant des blessures et des contusions sur tout le corps.
Suite à ces violences, les victimes ont déposé plainte auprès des services de sécurité. Par ailleurs, et pendant la même période, l
e même service a reçu quelque 100 personnes, victimes de coups et blessures volontaires, issus, en majorité, des localités de Chteïbo, Sid El-Bachir ou encore Hassi Bounif.