Un quadragénaire, nanti d'une forte charpente osseuse et nouvellement entré dans le club très fermé des quadragénaires, a connu une crise de la quarantaine qui l’a rendu complètement marteau. Aussi, est-ce avec cet outil qu’il s’est rendu devant Notre Dame en chantant « si j’avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit ». Avant qu’il n’ait pu finir la chanson du type électrocuté dans sa baignoire, un policier, quelque peu zélé, se permit de lui dire : Mais ce que tu portes à la main est un marteau ! L’homme s’est alors fâché et parodiant Magritte a lancé : Ceci n’est pas un marteau ! Puis il a attaqué le poulet arrogant, cherchant à le déplumer. Comme il avait écouté une version djihadiste de la chanson de celui qui se faisait arracher la chemise en sortie de scène, il continua à chantonner « j’y mettrais tout mon cœur, Allah Akbar, je bâtirais une ferme, Allah Akbar, pour le Calife en herbe, Allah Akbar, je la ferai en bois, c’est bon pour la Syrie, oh, hé, ce serait le bonheur.. » Et il a frappé avant d’être blessé par un tir de riposte d’un autre policier. Une fois maîtrisé l’homme s’est revendiqué comme « fan de Claude François » et « Soldat du Califat ». Ces deux caractéristiques n’avaient strictement rien à voir avec son activité civile, selon l’enquête rondement menée. En effet, cet homme au nom de Farid I.., était inscrit depuis 2014 comme doctorant en sciences de l’information de l’université de Lorraine, à Metz ! D’ailleurs on a retrouvé le ticket de caisse stipulant l’achat du marteau : un ticket du Castorama de Metz ou plus exactement d’une banlieue qui jouit aux arches tout en se nourrissant de mets sains. Un doctorant qui ne voit pas ad hoc Torah (vu qu’il doit être anti judaïque) a donc voulu anéantir un policier d’un coup de marteau ! Mais où va-t-on ? La prochaine fois aura-t-on droit à d’autres disciplines olympiques ? Le lancer du javelot en plein cœur de Lens ? Le lancer du poids dans un magasin Weight Watchers ? Le lancer du disque dans un rayon de la Fnac ? Le directeur de thèse, Arnaud Mercier, n’en revient toujours pas : "Je suis tombé de ma chaise dont je vis des bâtons. Quand je l’ai connu, c’était quelqu’un qui était pro-occidental et pro-valeurs démocratiques, qui croyait beaucoup à la mission des médias. Il n’y avait chez lui aucun signe extérieur d’une adhésion excessive à l’islam" Mercier en attrape des boutons dont l’amer se rit ! L’amer, cet apanage de notre atmosphère sous menace et dont Daech se fait l’exhalaison ! Notre Dame en tremble encore qui a demandé à ses fidèles de ne pas sortir tant que le danger ne serait pas écarté par les voies du Seigneur, qui restent, encore de nos jours, totalement impénétrables. Oui, rester dans la nef, à en prendre le bourdon ! Dehors, des touristes qui voulaient taper la cloche se sont vu prier d’abandonner leur pitance composée d’un Saint Nectaire et d’une religieuse. Ça les faisait ch..(censuré) car ils n’ont emporté que la bouteille d’eau ; c’est sûr : l’Hépar vit ! Et oui, à la moindre agression c’est le branle-bas de combat. Un coup de marteau et tout s’arrête ici-bas ! On est cloué sur place ! Ah l'alarme pare le plus, qu’on démarre tôt ! Allah l'arme par le plus con des marteaux !
Un quadragénaire, nanti d'une forte charpente osseuse et nouvellement entré dans le club très fermé des quadragénaires, a connu une crise de la quarantaine qui l’a rendu complètement marteau. Aussi, est-ce avec cet outil qu’il s’est rendu devant Notre Dame en chantant « si j’avais un marteau, je cognerais le jour, je cognerais la nuit ». Avant qu’il n’ait pu finir la chanson du type électrocuté dans sa baignoire, un policier, quelque peu zélé, se permit de lui dire : Mais ce que tu portes à la main est un marteau ! L’homme s’est alors fâché et parodiant Magritte a lancé : Ceci n’est pas un marteau ! Puis il a attaqué le poulet arrogant, cherchant à le déplumer. Comme il avait écouté une version djihadiste de la chanson de celui qui se faisait arracher la chemise en sortie de scène, il continua à chantonner « j’y mettrais tout mon cœur, Allah Akbar, je bâtirais une ferme, Allah Akbar, pour le Calife en herbe, Allah Akbar, je la ferai en bois, c’est bon pour la Syrie, oh, hé, ce serait le bonheur.. » Et il a frappé avant d’être blessé par un tir de riposte d’un autre policier. Une fois maîtrisé l’homme s’est revendiqué comme « fan de Claude François » et « Soldat du Califat ». Ces deux caractéristiques n’avaient strictement rien à voir avec son activité civile, selon l’enquête rondement menée. En effet, cet homme au nom de Farid I.., était inscrit depuis 2014 comme doctorant en sciences de l’information de l’université de Lorraine, à Metz ! D’ailleurs on a retrouvé le ticket de caisse stipulant l’achat du marteau : un ticket du Castorama de Metz ou plus exactement d’une banlieue qui jouit aux arches tout en se nourrissant de mets sains. Un doctorant qui ne voit pas ad hoc Torah (vu qu’il doit être anti judaïque) a donc voulu anéantir un policier d’un coup de marteau ! Mais où va-t-on ? La prochaine fois aura-t-on droit à d’autres disciplines olympiques ? Le lancer du javelot en plein cœur de Lens ? Le lancer du poids dans un magasin Weight Watchers ? Le lancer du disque dans un rayon de la Fnac ? Le directeur de thèse, Arnaud Mercier, n’en revient toujours pas : "Je suis tombé de ma chaise dont je vis des bâtons. Quand je l’ai connu, c’était quelqu’un qui était pro-occidental et pro-valeurs démocratiques, qui croyait beaucoup à la mission des médias. Il n’y avait chez lui aucun signe extérieur d’une adhésion excessive à l’islam" Mercier en attrape des boutons dont l’amer se rit ! L’amer, cet apanage de notre atmosphère sous menace et dont Daech se fait l’exhalaison ! Notre Dame en tremble encore qui a demandé à ses fidèles de ne pas sortir tant que le danger ne serait pas écarté par les voies du Seigneur, qui restent, encore de nos jours, totalement impénétrables. Oui, rester dans la nef, à en prendre le bourdon ! Dehors, des touristes qui voulaient taper la cloche se sont vu prier d’abandonner leur pitance composée d’un Saint Nectaire et d’une religieuse. Ça les faisait ch..(censuré) car ils n’ont emporté que la bouteille d’eau ; c’est sûr : l’Hépar vit ! Et oui, à la moindre agression c’est le branle-bas de combat. Un coup de marteau et tout s’arrête ici-bas ! On est cloué sur place ! Ah l'alarme pare le plus, qu’on démarre tôt ! Allah l'arme par le plus con des marteaux !