Auteur : Christophe Médici
Editions : La Musardine
Collection : Hors collection
Nombre de pages : 312 pages
Date de parution : 24 Mai 2017
Format : Grand
En amour, on fait parfois des rencontres inopportunes. Alors que l'on est sincèrement amoureux d'une personne, la relation que l'on tisse à deux au quotidien s'avère toxique. Il convient, tout d'abord, d'en prendre conscience afin d'éviter l'écueil du déni dans lequel tombent nombre d'amoureux chaque jour. Puis, il importe de prendre des mesures drastiques pour ne pas sombrer corps et âme.
Quels profils de personnes toxiques risque-t-on de croiser au cours de notre voyage amoureux ? Pourquoi certaines personnes attirent-elles si fréquemment des individus toxiques pour elles ? Comment mettre un terme définitif à la répétition de ces scénarios mortifères ? Faut-il se séparer de son partenaire, ou peut-on arranger les choses ?
C'est à ces questions, et bien d'autres, que ce livre tâche d'apporter des réponses. Les outils relationnels de la méthode Haute Qualité Relationnelle®, efficaces et simples à utiliser, vous aideront concrètement à gérer la personne toxique que vous côtoyez en amour.
Ils vous permettront également de vous améliorer personnellement, pour cheminer, à coup sûr, vers un " nous " épanouissant, en tournant définitivement le dos au " nous " rabaissant.
Ce n'est pas un idéal. C'est un objectif !
"
Et bien tout simplement votre partenaire qui détruit votre vie et Christophe Médici nous parle de trois niveaux : Autoritaire, Dictateur puis Sadique.
L'objectif de ce livre est donc de reconnaître, se protéger ou bien apprendre à contrôler ce partenaire toxique. Et ces dans ces termes que j'ai d'abord été chiffonnée. Contrôler autrui, c'est une chose que je n'approuve pas et encore moins quand autrui est violent d'une manière ou d'une autre.
Aucun des trois stades n'apporte quelque chose de positif et je pense tout de suite au pire. Ces femmes ou ces hommes qui subissent les réflexions, les colères de son partenaire à qui l'on dit d'apprendre à calmer l'autre ? Mouais. C'est peut-être plus neutre que la proposition que je pourrais faire : Fuis. Personne ne de
vrait subir ce genre de situation, je parle en connaissance de cause. C'est sûrement ce qui explique mon avis aussi tranché. Certes, tout le monde mérite une seconde chance, mais quand c'est quelque chose qui est dans sa nature, je suis plutôt pessimiste.