Qui es-tu toi le religieux fou de Dieu pour me dire de partir,
Pour me contraindre à fuir,
Ce pays a vu mon être grandir,
Ses couleurs ont nourri mon bonheur,
Ses lois avaient l’aval de mon honneur,
Qui es-tu toi le religieux fou de Dieu pour combattre l’amour,
Lui maître de vérité pour nos jours,
Je renaîtrai ailleurs dans le seul souci de mes songes,
Quand toi deviendras-tu prisonnier de tes mensonges,
Torturé par tant de regrets,
Goûterai-je de mon côté toutes les joies de la liberté.