J'ai relaté hier la crise au sein du lobby pro-euthanasie. On en apprend plus aujourd'hui avec Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD), qui explique que la démission de son vice-président, Gilles Antonowicz, avocat de Chantal Sébire, serait en fait "une affaire de gros sous" :
"Gilles Antonowicz a facturé plus de 5000 euros à l'ADMD pour la défense de Chantal Sébire, qu'il n'a rencontré que deux fois. J'ai trouvé la note un peu salée, surtout pour le vice-président de l'association! J'ai émi l'hypothèse que le paiement pouvais se discuter en conseil d'administration. Cela lui a déplu."
Les bons sentiments déployés dans les médias pour justifier le meurtre au nom de la souffrance sont sonnants et trébuchants !