Face aux interrogations et aux craintes, une majorité de progrès pour l’aisne.

Publié le 20 mai 2017 par Letombe

Le Gouvernement est connu et dans un certain nombre de ministères, pas d'interrogations sur les orientations des nouveaux locataires. Outre le Premier Ministre qui affiche très clairement sa position sur la Droite de l'échiquier politique, à l'Education Nationale, le nouveau ministre n'est autre que l'ancien Directeur de l'enseignement scolaire, l'homme des 80 000 suppressions de postes de Nicolas Sarkozy. Christophe Kerrero, son Directeur de cabinet, est celui qui, à l'époque dénonce la " décomposition pédagogiste " de l'Ecole. C'est lui qui remet en cause la scolarisation avant trois ans, élimine les Rased et supprime la formation des enseignants. En janvier, il précise même pour ceux qui n'auront pas compris que la Gauche et la Droite ce n'est pas la même chose : " La création de postes pose plus de problèmes qu'elle n'en résout ". Au moins chacun est prévenu.

D'où la déclaration de Jean-Jacques Thomas en défendant la majorité de progrès composée de candidats investis et soutenus par le PS : " ". En clair, pour défendre les Services publics, il faudra élire des députés qui s'y engagent : en Thiérache, Voilà pourquoi, l'Aisne a besoin de Gauche. D'une Gauche plurielle, constructive et vigilante. Il faut sans doute le rappeler, la nouvelle majorité sera la conséquence des législatives. Et non l'inverseJean-Louis Bricout et Catherine Lagrange, sur le Saint-Quentinois, Karl Pincherelle et Anne Ferreira ( notre photo), sur le Laonnois, Fawaz Karimet et Thomas Hennequin, sur le Soissonnais, Marie-Françoise Bechtel et Bernard Bronchain.