Magazine Société
Une petite parodie, comme ça, le jour de la passation de pouvoir entre Hollande et Macron et au lendemain de la victoire du Portugais Salvador Sobral à l'Eurovision de la Chanson (enfin, de ce qu'il en reste encore...)
Un petit clin d'oeil, en passant, à Céline Dion (que j'embrasse).
Zim Gly, il s’appelle Zim Gly Je suis folle de lui C’est un prénom pas comme les autres Mais moi je l’aime c’est pas faute Même s’il n’est pas beau Ah la bosse qu’a Zim au dos !
Zim Gly, il s’appelle Zim Gly Je suis folle de lui La première fois que je l’ai vue Il marchait tout seul dans la rue J’lui ai seulement dit : J’suis Esmeralda jolie !
Il était quatre heures du matin
J'étais seule et j'avais besoin
De parler à quelqu'un
Il m'a dit : viens prendre un café
Un bon décaféiné Pour pas s’énerver
Zim Gly, il s’appelle Zim Gly Il n’aima pas la mie
Il mange du pain un peu mystique Comme une hostie évangélique
J’m’y suis fait, j’l’estime Oui c’est bon le pain à Zim
Tous les soirs, il m'emmène danser
Dans une discothèque branchée Où il a son p’tit ami Un certain Emile, beau garçon J’essaie d’oublier en vain
Qu’Emile et Zim... mais
Zim Gly, il s’appelle Zim Gly Je suis folle de lui Il est gai et me voit comme pro De l’amitié pour les homos Dit : “t’es pros ! T’es in !” Alors moi je crois en Zim !