Si on ne peut pas vraiment dire que le Japon soit connu pour son hooliganisme, il s’est passé une drôle de chose lors d’un match de championnat entre le Gamba Osaka et Cerezo. En effet, dans les tribunes, on a pu apercevoir un drapeau représentant le sigle « SS ». Ainsi, les dirigeants de la J-League ont immédiatement décidé de sanctionner le club d’une amende de 2 million de yens, à savoir un peu près 16000 euros. Les dirigeants du club ont eux-aussi pris des dispositions exceptionnelles, après cet incident, en présentant leurs excuses « pour le malaise engendré » avant de démanteler le groupe de supporters et bannir les spectateurs impliqués. Ainsi, ce n’est pas la première fois qu’une revendication « nazi » fait son apparition dans un stade et E-TV Sport vous présente quelques uns des exemples les plus marquants !
Le drapeau « nazi » trop souvent vu dans les stades
Depuis des décennies, il n’est pas rare que d’irréductibles nostalgiques du régime nazi fassent leur apparition dans les stades de foot. En effet, que cela soit dans les plus grands stades du monde comme au Santiago Bernabeu, antre du Real Madrid, ou alors dans les stades plus confidentiels de l’ancienne Yougoslavie, des drapeaux présentant la « Svastika » ou « croix gammée » fleurissent…à notre plus grand regret !
Ces joueurs qui font le salut nazi
Hormis les supporters, il arrive également que les footballeurs montrent leur attachement au « Reich » d’Hitler ! Ainsi, on se souvient forcément de l’Italien Paulo Di Canio qui a, à plusieurs reprises, fait le néfaste salut. Si celui-ci a toujours assumé être fasciste, il s’est toujours défendu d’être raciste. Il a notamment déclaré: « Je fais le salut romain pour saluer mes camarades et ceux qui partagent mes idées. Ce bras tendu n’est pas une incitation à la violence ou à la haine raciale ». Plus récemment, en 2013, le joueur de l’AEK Athènes Giorgos Katidis a été banni de la sélection nationale pour avoir célébré son but par un salut nazi.