ni de gardien dans la forêt
bien qu’elle soit le Temple.
Rien à ouvrir ou à fermer.
Chacun trouve en elle son chemin.
Sa lumière dans les bouleaux.
Puis les feuillages retombent
et gardent le secret.
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Jean Mambrino (1923-2012) – Ainsi ruse le mystère (Corti, 1983)