La théorie des nouveaux principes de physique envisage l’espace comme un milieu plein d’une substance dénommée prématière qui résiste à tout mouvement et au sein de laquelle les ondes sont mises en mouvement à la célérité C.
L’hypothèse est de considérer que la résistance du milieu est de même valeur pour créer une paire e+ e- que celle occasionnant la perte d’énergie du photon sur son parcours.
Il est possible de trouver directement la perte d’énergie qui doit corresponde à la viscosité/résistance du milieu, puisque nous avions une constante exprimée en m/s. Par ailleurs, on doit comprendre pourquoi il n’existe pas de particule de masse inférieure à l’électron (le neutrino exclu) et surtout pourquoi on obtient une paire d’électron/positron à partir d’un niveau donné d’énergie. Ce seuil de résistance ne pouvait être que celui opposé par la prématière
1) Consécutivement, la création d’une paire d’électron e+ e- ne peut s’effectuer qu’au delà d’un seuil de résistance de cette prématière. Il ne peut se créer de particule de masse permanente inférieure à celle de l’électron. La valeur de cette masse est très exactement significative de la valeur de la résistance linéaire d’un milieu plein. Par ailleurs, tout photon circulant au sein de cette prématière subit naturellement un freinage et une perte d’énergie correspondant tout à la fois à la distance parcourue et à la densité de ce milieu.
2) L’hypothèse d’un espace plein donne sens à l’hypothèse de Dirac sur l’existence d’une mer qui implique une charge électrique négative infinie remplissant tout l'espace et correspondant très précisément à la masse du positron. La valeur de cette masse doit donc s’interpréter comme égale à celle de l’énergie nécessaire à sa création. De là nous assumons l’hypothèse selon laquelle le l’espace contenant la prématière est à le lieu d’une énergie infinie se présentant selon le mode d’une substance.
3) On avait interprété jusqu’à présent la constante de Hubble comme exprimant la vitesse de dilatation d’un espace en expansion. Nous postulons tout au contraire que cette constante mesure le degré de perte d’énergie d’un photon tout au long de son parcours.
4) L’hypothèse est de considérer que la résistance du milieu produit un effet de seuil pour créer une paire d’électron/positron qui nous indiquera la valeur de la perte d’énergie d’un photon mesuré par la constante de Hubble.
Calcul théorique de la constante de Hubble
La valeur de Ho expérimentale est de v = 72900 m/s sur 1 Mégaparsec (3.0856 E 22m)
1) Si nous calculons l’énergie de freinage exercée par mètre par la prématière sur une masse m° = 1 kg celle-ci aura une valeur exprimée en joule de : ½ m°.v² soit :
½ 1kg x Ho² /3 ;0856 E22 = 8.6I E -14 Joules (1)
soit ( E = mc²) une inertie de la prématière de 9.581E-31 kg par mètre linéaire.
Cette valeur n’a aucune signification physique et ne nous permet pas de calculer théoriquement la valeur de Ho sans recourir à une mesure expérimentale incertaine.
2) Il faut nous demander si la résistance de la prématière ne peut pas se mesurer autrement par un effet de seuil. Nous postulerons que ce seuil est celui à partir duquel la première particule peut surgir et au-dessous duquel cette résistance ne peut être surmontée pour susciter un état de transition prématière>matière.
La première valeur de masse permanente est celle de l’électron soit : me = 9.10938E -31 Kg
Nous faisons l’hypothèse que l’énergie nécessaire à la création d’une paire e+ e- sur un mètre est égale à la résistance qu’oppose la substance de l’espace sur un mega parsec pour une masse de 1kg.
3) Nous allons rechercher à rebours de l’équation (1) la valeur de cette résistance sur une distance d du mégaparsec correspond à celle théorique calculée de Hubble. (Cependant, les particules devant être créés par paires, l’énergie sera : ½ me.c² x 2 = me.c² soit :
me. c²x d = 8.1871E-18 j x 3.0856E 22m = ½ m°.v² joules
si m°=1kg et v = Ho
Ho = 71081, 34126 m/s
La valeur actuelle de la constante de Hubble est en (2006) mesurée à 72 km Mpc-1 avec une incertitude d'environ 10 % (soit 8 kms-1Mpc-1). Ce résultat est obtenu de façon consistante par de nombreuses méthodes :
Cette constante de Hubble est estimée par diverses méthodes qui donnent la valeur approchée de 71 km⋅s-1⋅Mpc-1 à 1% près (mesures [1] du 26 janvier 2010). S)
La détermination théorique exacte de la constante de Hubble confirme le parfait accord de la théorie des nouveaux principes avec l’expérience et l’existence consécutive d’une prématière constituant la substance de l’espace. Elle justifie et explique l’existence effective de la mer de Dirac ; Mais cependant, si l’espace est le lieu d’une énergie infinie, celle-ci se manifeste selon le mode d’une substance.