Hier soir, je recevais dans ma boîte aux lettres un courrier vert et blanc intitulé "avis de contravention", ce qui est généralement accueilli fraîchement.
Ainsi, selon les automates verbalisateurs, j'aurais le dimanche de Pâques stationné mon véhicule de façon très gênante sur le trottoir sis 34 boulevard Jean XXIII à Nice.
J'ajoute, que si cela était exact le stationnement aurait duré plusieurs jours, de l'avant-veille au lendemain soir au moins comme pourrait le démontrer mon billet de chemin de fer et ma location d'un véhicule à Bordeaux dans ce même laps de temps.
Mais, regardons de plus près le lieu de l'infraction :
On observe nettement la présence de piquets rendant impossible le stationnement sur le trottoir.
Il n'est pas dit que je lâche cent trente cinq euros sans sourciller, je vais illico contester avec véhémence cette injuste tentative de racket.