« L’échange des noms s’impose puisque la pie va toujours par deux et pas l’épi. » (Éric Chevillard - l’auto fictif - 3274)
Dans cette phrase, Eric Chevillard (suivre le lien dans la colonne de droite) joue avec le singulier et le pluriel, tous deux singuliers comme vous le remarquez (pie, épi). Vous pouvez en faire autant et construire d’autres phrases où apparaîtront des mots se prêtant à ce jeu. Faites, comme d’habitude dans nos jeux sur ce blog, une liste de mots offrant cette possibilité.
Par exemple : le froid - l’effroi, la dent - l’aidant, le pôle - l’épaule… Dans ce début de liste, vous saisissez que c’est le son qui donne cet effet d’un passage du singulier au pluriel.
Il suffit alors de composer une phrase intégrant les deux mots associés.
Par exemple : Le froid qui l’empêche de dormir fait surgir dans ses rêves l’effroi.
C’est à vous main tenant. Jouez de ces singuliers qu’on prendrait pour des pluriels dans des phrases que vous posterez dans les commentaires ci-dessous. Merci.
La gravure qui accompagne ce jeu est une oeuvre de Maria Angeles Testera.