⭐ Victorian Fantasy Tome 2 : De velours et d’acier de Georgia Caldera
Nombre de pages : 816 pagesÉditeur : PygmalionDate de sortie : 12 Avril 2017Collection : RomansLangue : FrançaisISBN-10 :2756418080 ISBN-13 :978-2756418087 Prix Éditeur : 17€Disponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Dans les Bas-fonds de Néo-Londonia, Léopoldine se bat depuis des années pour survivre. Lorsque le groupe auquel elle appartient maltraite un enfant, elle décide de se rebeller, quitte à affronter la colère de la Guilde des Voleurs. Dorénavant, elle ne laissera plus rien ni personne lui barrer la route.Augustin, lui, a toujours mené une existence fastueuse et insouciante, résigné à subir en parallèle l’écrasante emprise de sa mère, la Reine Victoria au règne sans fin. Mais il tombe de haut quand, pour la première fois, il refuse de se conformer à ses plans aussi tortueux que mystérieux. Car, s’il est un prince dont la fonction n est que titre, c est lui. Le jeune homme devra résister et fuir pour s affranchir du joug de la souveraine et embrasser sa destinée.Une rencontre qui pourrait bien tout bouleverser… mais la liberté ne s’obtient jamais sans sacrifice.
⭐ Mon avis :
Georgia Caldera est une auteure qui sait faire chavirer mon petit cœur à chaque roman, quand j’ai appris que la suite de Victorian Fantasy sortait, deux ans après le premier tome … Mandieu, j’ai du passer pour une folle tellement j’étais heureuse !
De velours et d’acier est donc une suite, sans véritablement en être une, les deux romans pouvant être lu indépendamment, ce qui est à la fois magique et ingénieux. Si dans Dentelles et nécromancie nous suivions Andraste et Thadeus, pour celui-ci, Léopoldine et Augustin sont nos deux héros, le temps d’un nouveau voyage dans Néo-Londonnia.
Augustin est un personnage que nous rencontrons brièvement dans le tome précédent, donc j’avais déjà une vague représentation de lui et pas des plus glorieuses. Néanmoins, ce roman m’a fait changer d’avis sur lui et très rapidement, car derrière ce personnage exécrable se cache un homme torturé dans tous les sens du terme… On apprend donc, au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire, à jongler entre ses qualités et ses défauts, tout comme notre charmante Léopoldine ! Cette demoiselle est bien loin de la princesse propre sur elle, car lorsqu’on la rencontre, elle se fait appeler Léo avec un attirail bien masculin et ceci pour survivre dans une Guilde où les femmes sont interdites… Mais sa rencontre avec Augustin changera bien des choses. Entre passé troublant et révélations, nous sommes plongés dans un univers palpitant et sombre …
Si les personnages sont parfaits, même dans leurs défauts, c’est sur l’histoire en elle-même que je craque le plus. Néo-Londonnia serait une de mes prochaines destinations de séjour si elle n’était pas seulement dans un livre… Chaque chapitre étant du point de vue d’un personnage, on peut s’habituer à croiser Léopoldine et Augustin, mais parfois d’autres personnages interviennent, comme Anton et là, on se dit : mais tu es qui ? D’où tu sors ? Et surtout, quel lien as-tu avec nos héros ? Et de fil en aiguille, ce nœud de mystère se dénoue laissant les liens se dévoiler, des plus surprenant parfois, mais avec une cohérence et donnant un aspect réel aux personnages.Les plus de 800 pages de ce roman sont donc entièrement expliquées et explicables, l’auteure ayant souhaité prendre son temps dans les (més)aventures du duo de choc. Cela n’est absolument pas dérangeant, au contraire, j’ai totalement apprécié ce développement, créant un sentiment de compréhension et les quelques rebondissements permettent une poussée d’adrénaline, créant une addiction totale pour moi.
À travers ses romans, j’adore entrer dans la tête et l’imaginaire de Georgia Caldera ! Ce mélange de fantastique et de steampunk est dosé à la perfection, une pointe de romance, mais là encore pas des plus simples et dans ce décor britannique, j’ai l’impression de trouver le refuge parfait pour s’évader autant d’heures que l’on souhaite. Tout ce que j’attendais est à la hauteur de son talent et, honnêtement, ces deux ans d’attente les valaient entièrement ! Une perfection qui, pour moi, est le plus gros coup de cœur de ce début d’année! Je ne peux donc que rejoindre le fan club de Georgia Caldera et vous inviter à découvrir son talent.
Kaali, chroniqueuse sur Songe d’une nuit d’été.
⭐ Victorian Fantasy Tome 2 : De velours et d’acier de Georgia Caldera
Nombre de pages : 816 pagesÉditeur : PygmalionDate de sortie : 12 Avril 2017Collection : RomansLangue : FrançaisISBN-10 :2756418080 ISBN-13 :978-2756418087 Prix Éditeur : 17€Disponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Dans les Bas-fonds de Néo-Londonia, Léopoldine se bat depuis des années pour survivre. Lorsque le groupe auquel elle appartient maltraite un enfant, elle décide de se rebeller, quitte à affronter la colère de la Guilde des Voleurs. Dorénavant, elle ne laissera plus rien ni personne lui barrer la route.Augustin, lui, a toujours mené une existence fastueuse et insouciante, résigné à subir en parallèle l’écrasante emprise de sa mère, la Reine Victoria au règne sans fin. Mais il tombe de haut quand, pour la première fois, il refuse de se conformer à ses plans aussi tortueux que mystérieux. Car, s’il est un prince dont la fonction n est que titre, c est lui. Le jeune homme devra résister et fuir pour s affranchir du joug de la souveraine et embrasser sa destinée.Une rencontre qui pourrait bien tout bouleverser… mais la liberté ne s’obtient jamais sans sacrifice.
⭐ Mon avis :
Georgia Caldera est une auteure qui sait faire chavirer mon petit cœur à chaque roman, quand j’ai appris que la suite de Victorian Fantasy sortait, deux ans après le premier tome … Mandieu, j’ai du passer pour une folle tellement j’étais heureuse !
De velours et d’acier est donc une suite, sans véritablement en être une, les deux romans pouvant être lu indépendamment, ce qui est à la fois magique et ingénieux. Si dans Dentelles et nécromancie nous suivions Andraste et Thadeus, pour celui-ci, Léopoldine et Augustin sont nos deux héros, le temps d’un nouveau voyage dans Néo-Londonnia.
Augustin est un personnage que nous rencontrons brièvement dans le tome précédent, donc j’avais déjà une vague représentation de lui et pas des plus glorieuses. Néanmoins, ce roman m’a fait changer d’avis sur lui et très rapidement, car derrière ce personnage exécrable se cache un homme torturé dans tous les sens du terme… On apprend donc, au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire, à jongler entre ses qualités et ses défauts, tout comme notre charmante Léopoldine ! Cette demoiselle est bien loin de la princesse propre sur elle, car lorsqu’on la rencontre, elle se fait appeler Léo avec un attirail bien masculin et ceci pour survivre dans une Guilde où les femmes sont interdites… Mais sa rencontre avec Augustin changera bien des choses. Entre passé troublant et révélations, nous sommes plongés dans un univers palpitant et sombre …
Si les personnages sont parfaits, même dans leurs défauts, c’est sur l’histoire en elle-même que je craque le plus. Néo-Londonnia serait une de mes prochaines destinations de séjour si elle n’était pas seulement dans un livre… Chaque chapitre étant du point de vue d’un personnage, on peut s’habituer à croiser Léopoldine et Augustin, mais parfois d’autres personnages interviennent, comme Anton et là, on se dit : mais tu es qui ? D’où tu sors ? Et surtout, quel lien as-tu avec nos héros ? Et de fil en aiguille, ce nœud de mystère se dénoue laissant les liens se dévoiler, des plus surprenant parfois, mais avec une cohérence et donnant un aspect réel aux personnages.Les plus de 800 pages de ce roman sont donc entièrement expliquées et explicables, l’auteure ayant souhaité prendre son temps dans les (més)aventures du duo de choc. Cela n’est absolument pas dérangeant, au contraire, j’ai totalement apprécié ce développement, créant un sentiment de compréhension et les quelques rebondissements permettent une poussée d’adrénaline, créant une addiction totale pour moi.
À travers ses romans, j’adore entrer dans la tête et l’imaginaire de Georgia Caldera ! Ce mélange de fantastique et de steampunk est dosé à la perfection, une pointe de romance, mais là encore pas des plus simples et dans ce décor britannique, j’ai l’impression de trouver le refuge parfait pour s’évader autant d’heures que l’on souhaite. Tout ce que j’attendais est à la hauteur de son talent et, honnêtement, ces deux ans d’attente les valaient entièrement ! Une perfection qui, pour moi, est le plus gros coup de cœur de ce début d’année! Je ne peux donc que rejoindre le fan club de Georgia Caldera et vous inviter à découvrir son talent.
Kaali, chroniqueuse sur Songe d’une nuit d’été.