La rencontre idéale (ou presque) d’Angéla Morelli

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

La rencontre idéale (ou presque) d’Angéla Morelli

Poche : 304 pages
Editeur : Editions Harlequin
Date de sortie : 22 mars 2017
Collection : &H POCHE
Langue : Français
ISBN-10: 2280365111
ISBN-13: 978-2280365116
Prix Editeur : 7,50€
Disponible sur Liseuse : OUI

De quoi ça parle?

Elle pensait être à l’abri de toute tentation… Elle se trompait doublement.

Un séjour détox. Voilà comment Louise envisage ses vacances dans la maison de campagne que lui a prêtée une amie : air pur et nature devraient l’aider à se déconnecter de sa vie parisienne survoltée. Mais, surtout, c’est l’occasion parfaite de débuter sa période sans homme ; au beau milieu de la Picardie, cela ne devrait pas être très compliqué de résister à la tentation. Du moins, c’est ce qu’elle pense avant de rencontrer Joffrey, son voisin apiculteur, et Arnaud, l’artisan chargé des travaux de la grange attenante. Deux hommes radicalement différents, mais qui ont un point commun : le danger qu’ils représentent pour ses bonnes résolutions. Parviendra-t-elle à tenir sa promesse ?

« Angela Morelli m’a fait passé un excellent moment d’évasion qui sent bon la campagne, les pancakes, la pluie d’été et l’air marin. » – Boulevard des Passions

Roman publié en grand format sous le titre « L’amour est dans le foin ».

Mon avis 

Lire Angéla Morelli, pour moi, c’est un peu comme croquer les oreilles du lapin de Pâques. Un délice sans vices. Mais une fois commencé, à quoi bon s’arrêter, c’est tellement agréable. La rencontre idéale (ou presque) rassemble tout ce qui me plaît en général dans la romance contemporaine, c’est-à-dire de légèreté, de l’émotion, une atmosphère, une pointe d’humour et surtout un homme bougon grognon. Ça, c’est mon péché mignon.

Prendre des vacances plus que méritées tout en supervisant les travaux de l’amie d’une amie chez qui elle loge semblait être une idée acceptable, pour Louise la citadine pure souche. Voilà comment elle s’est retrouvée dans la Baie de Somme, loin de tout et surtout loin des hommes. Une chance pour cette célibataire qui enchaîne les coups d’un soir et qui compte bien montrer à ses canailles de copines qu’elle peut rester abstinente quelques semaines. Mais attention, un apiculteur charmeur et un entrepreneur taciturne diablement viril pourraient bien changer la donne. Les paris sont lancés !

En choisissant ce livre, je pensais lire la suite de ce même livre. Une erreur due au changement de titre initial (L’amour est dans le foin) dans la version poche. Ma bévue m’a donné l’occasion de relire ce Tome 2 que j’avais beaucoup apprécié la première fois. Et j’ai retrouvé ce petit quelque chose qui me fait tant aimer les livres d’Angéla Morelli, portés par une écriture à la fois drôle, tendre et avec cette pointe d’optimisme.

Anciennement rat des villes, le petit rat des campagnes que je suis ne peut que reconnaître le talent de l’auteure pour planter un décor qui ne dépareille pas de la réalité. Elle a ce sens du détail qui rend chaque personnage incarné. Cela pourrait se passer en bas de ma rue. J’aime particulièrement sa façon de percevoir l’esprit d’un village ou d’un hameau, d’esquisser ses vieilles âmes et de faire ressentir cette temporalité différente, cette douce simplicité. Une sérénité se dégage de ses histoires qui se déploient tranquillement. Et, quelle que soit la saison, l’auteure convoque toujours le soleil.

Mais ce calme apparent ne peut être qu’annonciateur d’une tourmente émotionnelle. Dans les pas d’une trame Austenienne, nous suivons les états d’âme de Louise, une control freak autant dans sa vie professionnelle que privée qui a du mal distinguer le bon grain du mauvais et d’Arnaud, ce père malmené sentimentalement qui peine à joindre les deux bouts. Dire que leur première rencontre fut idéale serait mentir… La première impression n’est pas toujours la bonne et il faut parfois passer outre ses préjugés et carcans intimes.

L’histoire se tisse sans paroles, parfois à reculons, mais ce jeu de patience ne sera pas vain. Les faux semblants ne peuvent pas résister bien longtemps face à un regard d’orage et un cœur tendre. Mais… toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin, qui est arrivée bien vite à mon goût. J’en aurais bien repris un chapitre ou deux, tellement c’est bon !

 

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⭐ Les autres chroniques de ce tome


La rencontre idéale (ou presque) d’Angéla Morelli

Poche : 304 pages
Editeur : Editions Harlequin
Date de sortie : 22 mars 2017
Collection : &H POCHE
Langue : Français
ISBN-10: 2280365111
ISBN-13: 978-2280365116
Prix Editeur : 7,50€
Disponible sur Liseuse : OUI

De quoi ça parle?

Elle pensait être à l’abri de toute tentation… Elle se trompait doublement.

Un séjour détox. Voilà comment Louise envisage ses vacances dans la maison de campagne que lui a prêtée une amie : air pur et nature devraient l’aider à se déconnecter de sa vie parisienne survoltée. Mais, surtout, c’est l’occasion parfaite de débuter sa période sans homme ; au beau milieu de la Picardie, cela ne devrait pas être très compliqué de résister à la tentation. Du moins, c’est ce qu’elle pense avant de rencontrer Joffrey, son voisin apiculteur, et Arnaud, l’artisan chargé des travaux de la grange attenante. Deux hommes radicalement différents, mais qui ont un point commun : le danger qu’ils représentent pour ses bonnes résolutions. Parviendra-t-elle à tenir sa promesse ?

« Angela Morelli m’a fait passé un excellent moment d’évasion qui sent bon la campagne, les pancakes, la pluie d’été et l’air marin. » – Boulevard des Passions

Roman publié en grand format sous le titre « L’amour est dans le foin ».

Mon avis 

Lire Angéla Morelli, pour moi, c’est un peu comme croquer les oreilles du lapin de Pâques. Un délice sans vices. Mais une fois commencé, à quoi bon s’arrêter, c’est tellement agréable. La rencontre idéale (ou presque) rassemble tout ce qui me plaît en général dans la romance contemporaine, c’est-à-dire de légèreté, de l’émotion, une atmosphère, une pointe d’humour et surtout un homme bougon grognon. Ça, c’est mon péché mignon.

Prendre des vacances plus que méritées tout en supervisant les travaux de l’amie d’une amie chez qui elle loge semblait être une idée acceptable, pour Louise la citadine pure souche. Voilà comment elle s’est retrouvée dans la Baie de Somme, loin de tout et surtout loin des hommes. Une chance pour cette célibataire qui enchaîne les coups d’un soir et qui compte bien montrer à ses canailles de copines qu’elle peut rester abstinente quelques semaines. Mais attention, un apiculteur charmeur et un entrepreneur taciturne diablement viril pourraient bien changer la donne. Les paris sont lancés !

En choisissant ce livre, je pensais lire la suite de ce même livre. Une erreur due au changement de titre initial (L’amour est dans le foin) dans la version poche. Ma bévue m’a donné l’occasion de relire ce Tome 2 que j’avais beaucoup apprécié la première fois. Et j’ai retrouvé ce petit quelque chose qui me fait tant aimer les livres d’Angéla Morelli, portés par une écriture à la fois drôle, tendre et avec cette pointe d’optimisme.

Anciennement rat des villes, le petit rat des campagnes que je suis ne peut que reconnaître le talent de l’auteure pour planter un décor qui ne dépareille pas de la réalité. Elle a ce sens du détail qui rend chaque personnage incarné. Cela pourrait se passer en bas de ma rue. J’aime particulièrement sa façon de percevoir l’esprit d’un village ou d’un hameau, d’esquisser ses vieilles âmes et de faire ressentir cette temporalité différente, cette douce simplicité. Une sérénité se dégage de ses histoires qui se déploient tranquillement. Et, quelle que soit la saison, l’auteure convoque toujours le soleil.

Mais ce calme apparent ne peut être qu’annonciateur d’une tourmente émotionnelle. Dans les pas d’une trame Austenienne, nous suivons les états d’âme de Louise, une control freak autant dans sa vie professionnelle que privée qui a du mal distinguer le bon grain du mauvais et d’Arnaud, ce père malmené sentimentalement qui peine à joindre les deux bouts. Dire que leur première rencontre fut idéale serait mentir… La première impression n’est pas toujours la bonne et il faut parfois passer outre ses préjugés et carcans intimes.

L’histoire se tisse sans paroles, parfois à reculons, mais ce jeu de patience ne sera pas vain. Les faux semblants ne peuvent pas résister bien longtemps face à un regard d’orage et un cœur tendre. Mais… toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin, qui est arrivée bien vite à mon goût. J’en aurais bien repris un chapitre ou deux, tellement c’est bon !

 

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