J’esquisse le tableau : vous êtes en rendez-vous avec cette superbe fille ; une « 9 » selon vos standards de beauté. Vous l’avez isolé chez vous et vous êtes sur le point de conclure. Les 99% du chemin sont faits, du moins si l’on considère qu’il s’arrête au tooltip text= »fclose » gravity = »n »]Fuck Close : Quand l’on réussit à coucher avec la fille[/tooltip]. Plus qu’une étape : emboiter la prise mâle dans la prise femelle…
Mais, nous le savons tous, seule compte la conclusion ; si vous ne faites pas ce 1% restant, tout votre super « game » pour en arriver là ne sera que du vent. Que faut-il pour conclure : bander bien, bander dur ! Oui, parce que si vous bandez mou (1) vous ne parviendrez pas à conclure — ou mal — et (2) les conséquences risquent d’être fatales pour la fidélisation.
Avoir une panne au pire des moments peut arriver à tous. D’ailleurs, ça m’est arrivé. Cette histoire ci-dessus m’est arrivée !… Il y a plusieurs années. La fille était magnifique ; son intérêt pour moi était au summum ; mais, dès que j’enfilais une capote, mon sexe était si mou que je donnais l’impression d’être un eunuque.
Elle a été compréhensive. Elle m’a rassuré. Elle m’a répété plusieurs fois que ça n’était pas grave. Puis, je l’ai raccompagné chez elle et, elle n’a plus jamais répondu. Ni à mes appels ni à mes SMS. Le silence abyssal.
Avec le recul et l’expérience, je suis convaincu que si je lui avais fait l’amour comme elle l’avait désiré (sauvagement et avec passion !), l’issue aurait été toute différente. Car, sans vouloir mettre la pression, ne pas réussir à bander envoie un très mauvais signal. C’est comme un mec qui irait vers une fille avec un look, un langage corporel et une attitude très masculine, puis qu’une toute la petite voix fluette d’enfant prépubère sortait de sa bouche lorsqu’il lui parlerait… ça gâche tout !
Du reste, le premier prérequis pour performer au lit, c’est une bonne érection. Alors, autant savoir comment avoir une érection forte naturellement, dure la roche, à chaque fois.
Justement, j’ai une excellente nouvelle !… La « panne » n’est pas le fruit du hasard, elle est aisément évitable. En partant du principe que vous avez moins de 70 ans et êtes en bonne santé, vous pouvez avoir une bonne érection. Dure comme un tronc d’un arbre ! À en faire rougir madame – et pas que !
Mes amis, je vous le dis haut et fort, notre lutte sans répit contre l’insatisfaction sexuelle des femmes nous impose ce devoir : avoir la b*te gonflée à bloc au moment voulu !
Vous voulez savoir comment tout de suite ?
Un peu de patience Messieurs…
Voici la recette (100% naturelle) en 4 étapes :
- Adopter un régime alimentaire qui optimise la testostérone.
- Arrêter le porno !
- Développer sa confiance sexuelle
- Pratiquer l’abstinence partielle
1) Adopter un régime alimentaire qui optimise la production de testostérone.
Une panne sur trois serait due à une déficience en testostérone…
Il faut dire que, de génération en génération, à cause du style de vie, d’une bouffe moins saine, d’un contact quotidien avec une pléthore de substances chimiques, etc., les hommes produisent de moins en moins de testostérone. Et cela a maintes conséquences : sur la libido, la fertilité, la construction et la réparation des tissus musculaires, la motivation, et même la créativité.
Aussi, un homme avec un haut de testostérone a tendance à se sentir mieux dans sa peau, plus confiant, être optimiste et avenant (contrairement aux idées reçues). En résumé : meilleur est votre niveau de testostérone, mieux vous vous portez ! Et, surtout, c’est important pour s’assurer d’avoir bonne érection.
Dans mon livre Viril & Charmant, je donne un plan d’alimentation pour améliorer naturellement sa testostérone – vous pouvez le commandez en version PDF ou sur Amazon
Ici, je vais résumer quelques principes :
- Mangez naturel.
Évitez les foutus plats industriels bourrés d’additifs en tout genre. En prenant une alimentation saine, votre corps vous le rendra bien – en fonctionnant mieux, en produisant plus de testostérone.
- Mangez bio.
Les produits bio sont plus chers, certes, mais c’est pour une bonne raison. Les pesticides chimiques qu’on utilise en agriculture intensive pour asperger les fruits et légumes sont oestrogéniques (en plus d’être mauvais pour la santé). Je ne suis pas un expert en biochimie, mais si je ne m’abuse, ils contiennent des perturbateurs endocriniens – xenoetrogène et phytoestrogène – qui dérèglent votre balance hormonale.
- Mangez gras.
Les acides gras jouent un rôle essentiel dans la production de testostérone.
Depuis l’extension du marché du régime, on a tendance à croire que les aliments riches en lipides sont à éviter. Seulement, 90 % (au moins) des clients sur ce marché sont des clientES, et l’on ne tient pas compte de la différence de fonctionnement des corps des deux sexes.
Pour les hommes, certains régimes sont inadaptés. Notamment, si vous cessez de manger gras, vous cessez de produire de la testostérone en bonne quantité ; et par la même occasion, vous brûlez plus difficilement vos graisses corporelles.
Tous les lipides n’ont pas la même valeur. Mais disons qu’en consommant beaucoup d’oméga 3, d’oméga 6, une dose modérée d’acides gras saturés — présente dans les produits animaux comme l’oeuf, le lait ou la viande — vous vous en sortirez bien.
En revanche, évitez les acides gras trans. Ils sont néfastes pour la santé (provoquent les maladies cardio-vasculaires), et réduisent la testostérone.
- Mangez vitaminé !
Votre corps à besoin de vitamines et de minéraux pour fabriquer vos hormones. Du magnésium, du zinc et de la vitamine D notamment, mais aussi d’un tas d’autres micronutriments (à peu près tous) pour aider à les synthétiser. Donc, ne soyez pas avare en vitamines dans votre régime !
- Mangez moins calorique.
Dans notre organisme, il existe une enzyme oestrogénique qui devient de plus en plus active avec la quantité de tissus adipeux (graisses corporelles) accumulée. Il convient de surveiller vos calories, pour ne pas amasser trop de masse graisseuse.
Vous devez prendre beaucoup de lipides, de protéines (surtout si vous faites de la musculation), de fruits et de légumes pour les vitamines. Cela doit constituer au moins 90 % (sinon 100%) de vos apports caloriques journaliers.
Donc, ne reste plus qu’à éviter les sucreries, et, dans une moindre mesure, les féculents, pour prévenir l’excédent calorique. Moins vous faites d’activité physique et plus cela est important.
2) Arrêter le porno !
Non, je ne suis pas un janséniste, ni un puritain ou que sais-je encore ! Vous pouvez faire touche-pipi si ça vous chante, ça m’est égal. Par contre, le visionnage quotidien de films pornos détruit sa capacité à se sentir excitée par les vraies femmes, dans la vraie vie. Il y a une myriade d’études sur le sujet qui le prouve (en voici une par exemple).
Ça n’impacte peut-être pas votre désir pour les femmes. Mais, au moment de l’acte, vous pouvez être incapable de vous sentir excité à cause du porno et de l’overdose de stimuli. Autrement dit : incapable de pouvoir la lever, malgré votre désir.
C’est beaucoup de désavantages, pour une jouissance terne de 30 secondes !…
Mieux vaut arrêter le porno ou, à défaut, le diminuer drastiquement – peut-être de l’ordre d’une fois par semaine maximum.
3) Acquérir de la confiance sexuelle.
L’anxiété sexuelle peut tuer votre excitation, comme l’anxiété à l’approche peut tuer votre aisance sociale.
Il y a un certain nombre de choses que vous pouvez faire pour réduire cette anxiété. Je pense surtout à l’auto-hypnose. Mais, comme pour la drague, la meilleure solution (et de loin) reste d’acquérir de l’expérience. Avec l’expérience, l’anxiété disparaît, ou devient trop faible pour nuire à votre excitation.
Il y a un genre de Chiffre Magique à atteindre pour ne plus ressentir d’anxiété sexuelle. Une sorte de quota à atteindre pour se sentir à l’aise avant l’acte. Ce n’est pas spécifique au sexe. C’est vable pour l’approche, l’écriture, et dans la plupart des domaines.
Pour la drague par exemple, la plupart des hommes deviennent assez à l’aise pour aborder après 200 approches. Bien entendu, c’est un nombre à la louche. Pour certains c’est beaucoup moins, tandis que pour d’autres c’est un peu plus. Mais, souvent, après 200 approches on a de grandes chances de se sentir assez à l’aise pour aborder, sans être paralysé par l’anxiété.
C’est idem pour la rédaction d’articles de blog. Quand j’ai débuté, je ressentais une forte appréhension — j’avais peur d’être mal jugé sur le fond ou la forme de mes posts — jusqu’au moment où j’ai publié suffisamment d’articles (environ une cinquantaine) pour me sentir à l’aise.
Le même principe est valable pour le sexe. J’estime, d’après mon expérience, qu’à partir de 20 Fcloses l’anxiété de la performance disparaît. Ou, du moins, elle s’atténue assez pour ne pas interférer sur son excitation. Après avoir couché avec 20 femmes différentes, vous avez de fortes chances de vous sentir assez à l’aise pour tremper le biscuit avec n’importe quelle nouvelle partenaire.
Bien sûr, vous pouvez être performant sans avoir couché avec autant de femmes. Seulement, le plus souvent, ce sera moyen la première fois (voire les quelques premières fois) avec votre partenaire, à cause d’une anxiété trop oppressante. Tandis que, sans anxiété, vous pouvez être bon dès la première fois.
4) Abstinence partielle.
Pour le cas où vous planifiez quelques jours à l’avance de passer une nuit torride avec une fille, donnez-vous au moins 48 heures de repos.
Durant ce temps : pas de masturbation, encore moins d’éjaculation ! Rien.
À la rigueur, la seule exception tolérable serait d’avoir un rapport sexuel (non planifié) entre temps. Hormis ça, pas de touche-pipi. Laissez biloute tranquille. Ménagez-le, comme on ménage un sportif avant une compétition. Vous verrez, votre érection sera meilleure, durera plus longtemps, et vous pourrez faire plusieurs rounds avec madame.
L’inconvénient, c’est qu’il faut savoir contrôler son éjaculation ; après quelque temps d’abstinence, le plaisir peut être si intense qu’on pourrait se « laisser aller » un peu vite (ce qui déplairait à votre partenaire). Donc, tant qu’un homme a des difficultés pour faire durer le rapport, ça peut être une pratique contre-productive pour lui.
Dans tous les cas, vous savez mieux que moi ce qui est bien pour vous, et ce qui ne l’est pas. Comme toujours, triez l’information : prenez ce qui est utile, écartez le reste.
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