mercredi 25 juin 2008
Quatrième opus de la série, heureusement moins sanglant que le ridicule "Hannibal". C'est toujours intéressant de comprendre comment un monstre peut naître (cf. ma critique sur "Les damnés" par exemple). Ici, tout est un peu exagéré et surtout je trouve que le cinéaste occulte complètement la construction psychologique d'Hannibal. On passe directement de la cause de sa folie à huit ans plus tard où il a effectivement basculé. Après, le reste n'est que l'histoire d'une vengeance avec une pâle poursuite entre le policier et Hannibal et des allusions crétines à Vichy. Evidemment, c'est un peu sanglant mais même pas peur...