Marine & poutine

Publié le 31 mars 2017 par Le Journal De Personne

Il n'y a pas d'énigme au rapprochement entre Marine et Poutine.

Les deux font appel au même paradigme :

Un paradigme Marxiste...

En politique, il faut choisir soi-même sa posture pour ne pas être à la merci de l'imposture.

Et pour avoir les pieds sur terre, miser sur son logis, sous peine d'être délogé ou démis par l'idéologie.

On ne peut garder notre maison que si on sauvegarde notre raison d'être ce que nous sommes, ce que nous avons été et ce que nous voulons être.

Pour se protéger, on ne chasse pas l'étranger, on casse le système qui veut nous rendre étrangers à nous-mêmes.

C'est l'aliénation qu'on refuse.

-->Nous sommes laïcs pour venir à bout de l'aliénation religieuse.

-->Nous sommes patriotes pour venir à bout de l'aliénation politique.

-->Nous sommes souverainistes pour venir à bout de l'aliénation économique.

-->Nous sommes de tendance radicale pour venir à bout de l'aliénation libérale...

Et pourquoi pas marxistes pour venir à bout de l'aliénation capitaliste.

Notre nationalisme n'est pas xénophobe, raciste ou séparatiste mais notre seul rempart contre le mondialisme de l'état planétaire, qui veut être le seul empire sur terre. L'empire des marchands et de la marchandise.

La pire aliénation de toutes, c'est l'humanisme qui s'arroge le droit de nous ôter tous les droits.

Sous le masque des droits de l'homme, il n'y a point de visage mais une volonté d'esclavage.

On dépeuple les peuples pour les repeupler d'esclaves de main-d'œuvre étrangère et pas chère.

Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'identité, mais un vaste marché où tout s'achète et tout se vend au plus offrant.

Le système du monde immonde est bien huilé :

Il voudrait qu'on accueille toute la misère du monde, non pour la réduire mais pour nous réduire!

Il l'augmente pour nous diminuer.

Il nous divise pour régner.

Parce que le système n'a pas d'autre devise que le règne de la marchandise.

Quand on dit la France au français, ce n'est pas pour rejeter ou exclure qui que ce soit, mais pour continuer d'exister. Ce n'est pas niais mais inné.

C'est notre instinct d'autoconservation sans lequel, il ne peut y avoir aucune émancipation.

La question n'est plus d'être mais de rester soi... c'est la plus sacrée des lois.

L'Onu, l'Euro, l'Otan, c'est du vent pour abattre la cloison entre l'étant et le néant, pour nous réduire à néant.

Ce sont des abstractions pour faire de l'argent à nos dépens.

Des véhicules pour qu'on circule comme des pantins.

On voudrait qu'on s'ouvre pour intégrer le circuit le plus fermé qui puisse être, celui de la mondialisation...

Espace sans sujets, qui veut nous transformer tous en objets. Désappropriés au propre et figurants au figuré.

Il faut se rappeler tout de même que l'économie n'est pas une science, mais un niveau de conscience politique qui ne prouve que ce qu'elle approuve.

Tout comme il faut rappeler que le droit n'est rien d'autre que l'expression de la force à un moment donné de son histoire.

Et cette histoire nous nous proposons justement de la refaire avant d'être défaits par leur histoire.

Halte à l'exploitation immonde de la France par la souffrance du monde!